mercredi 11 octobre 2017

familles, configuration perverses, les enfants aussi

Un internaute s'interroge. Un enfant peut-il manipuler ses parents ?

HL : ''Bien sûr qu'un enfant peut jouer des 2, manipuler, c'est même souvent le principe et le but d'un pervers-parent, faire des ÉMULES... par ex braquer l'enfant contre l'autre parent... ms celui-ci (l'enfant) peut aussi initier DE LUI-MÊME le jeu, si bien qu'à la fin on ne sait plus où on en est. Un indice, l'argent : ds une séparation, il arrive que l'un des 2 opère une véritable main mise sur l'argent et les biens du couple au détriment de l'autre*, de sorte que, la situation étant devenue déséquilibrée en la défaveur du parent-victime, l'enfant (ou UN enfant) par intérêt choisisse en connaissance de cause le 'victimeur'...  tout en aimant bien davantage l'autre, ce qui revient de fait à un double jeu, sans connotation péjorative. LORSQUE DS UN GROUPE, SÉVIT UN DÉLINQUANT*, TOUT LE GROUPE EN EST OBLIGATOIREMENT AFFECTÉ. Il arrive même que le parent 'exclu' appuie le jeu qui le dessert, par héroïsme, pour éviter une rétorsion financière contre un enfant qui a trop clairement pris position en faveur de la JUSTICE (tandis qu'un autre enfant qui lui a joué l'opportunisme, prenant ses distances avec lui, serait outrageusement favorisé.)

* La sté en général ne sanctionne pas les délinquants de ce type : ses 'élites" étant majoritairement formée par eux, autant demander à un coureur de fond de se tirer une balle dans le pied.

Parfois, in fine, il est presqu'impossible de déterminer QUI a manipulé en premier, et il se peut même que ce soit L'ENFANT ! (ou UN enfant, parfois entraîné par un autre plus pragmatique-opportuniste qu'il copie .. en allant encore plus loin !) même très jeune ! ayant su habilement, au vu d'une situation qu'il n'a pas pu ne pas voir (mais souvent mal ou incomplètement comprise) profiter d'un parent contre l'autre....  voire en ayant suscité INTENTIONELLEMENT un crash IRRATRAPABLE entre des parents (certes déjà en conflit). Ms le parent-victimeur peut aussi mener je jeu en sous main en se servant des enfants contre l'autre afin de : 1 le spolier plus complètement et plus légalement* : 2 asseoir sa domination sur tout le groupe : 3 recueillir leur affection exclusive réelle ou simulée (car ils st devenus dépendants de son bon vouloir) : et 4 les braquer contre l'autre parent, voire entre eux au cas où un a pris position contre lui...

*L'astuce étant, (pour contourner la loi lorsqu'il y a, soit une grande différence économique d'emblée entre les deux conjoints, soit lorsque l'un a accaparé les biens acquis par le couple en son seul nom et redoute au moment d'un divorce de devoir rendre des comptes ), de transmettre rapidement le patrimoine à un ou plusieurs enfant qui serviront alors de prête-noms dociles.

En conclusion, cette attitude n'est nullement, de la part de l'enfant dit 'manipulateur' (dans le cas où il n'est PAS INITIATEUR) qui tire son épingle du jeu comme il peut, la preuve d'une noirceur d'âme, il n'a guère le choix (et peut même y être encouragé par le parent-victime, aimant) ; ayant vu autour de lui jouer cette partition avec un succès éclatant, comment de toutes manières ne l'essaierait-il pas lui aussi ?

Note : ce genre de shémas se répercute, de manière pathologique parfois, de générations en générations, un parent victimeur braqué argent étant souvent issu d'une famille du même type : ayant vu durant son enfance un père ou une mère de la même eau, par exemple se servir de lui comme ''homme de paille'', il N'IMAGINERA MÊME PAS UNE AUTRE CONFIGURATION FAMILIALE ... CONFIGURATION QU'IL RECRÉERA à l'identique (même si la donne est tout à fait différente voire ... opposée !) dans sa vie 'affective' ensuite.. 
{Par exemple un homme qui, à la suite d'un aléa imprévu, est devenu pauvre et de surcroît lourdement chargé de famille, CONTRE TOUTE ÉVIDENCE, supposera, craindra (et AGIRA pour s'en prémunir !) que la femme 'riche' qu'il a épousé n'en veuille qu'à ... son argent ! Qu'il n'a plus ! Ou s'il s'agit de son salaire, qu'il planquera soigneusement aucazou! '

http://chantsphilo.blogspot.fr/2017/10/familles-configuration-perverses-les.html

[Suit une réponse de quelqu'une qui se donne en exemple et me recommande de ne pas analyser les enfants (!) ... mais qui mine de rien soulève un PROBLÈME DE TAILLE : comment dire ou ne pas dire en cas notamment de lourdes, durables, et régulières maltraitances, pas forcément physiques ? Dans tous les cas, la victime est en tort, tort d'avoir DIT, tort d'avoir TÙ. Et comment faire entre les 2 ? Se taire est mortifère, parler l'est aussi. Et de toutes manières, se taire, on ne le peut pas. A moins d'habiter un château, et encore.]

HL : ''Désolée je ne comprends pas ou pas tout ce que vous dites, mais ce que je comprends c'est que votre enfant a ? vers 10 ans ? Les miens 36 et 40, ça change tout. Certes chaque histoire est différente, mais je ne vois pas en CERTAINS CAS (dramatiques, plus ou moins... surtout si l'enfant en a été témoin, et c'est presque toujours le cas, directement ou non) comment on peut tenir certains discours du genre des vôtres que vous semblez proposer en modèles ... sans EXASPÉRER encore davantage ("d'accord mon chéri, ton papa a voulu tuer ta maman -ou autre horreurs, ou l'inverse-, mais c'est pas ton affaire, c'est normal de l'aimer tout autant qu'elle, ce n'est pas grave, tu es un enfant et tu n'as pas à t'en mêler, à juger etc'') mmm ? Évitez svp le logos 'utinam' ou cours-type d'oral d'agrégation!"

[(Non modifié, orthographe d'origine.) ''Quelque soit l’âge d’un enfants si on lui demande de prendre parti en pointant du doigt les mauvais agissements de l’autre parent surtout si il y a tentative de manipulation on peut être sûr de le perdre ...'']

HL : ''MAIS S'IL LES A VUS, CES ''MAUVAIS AGISSEMENTS'' comme vous dites, DES COUPS, DES VIOLS DES SPOLIATIONS ILLÉGALES MAIS COURANTES, LA MISÈRE, S'IL EN A SOUFFERT PAR RICOCHET ? Vous lisez les actus parfois ou non ? Vous savez ce qui peut se passer à coté de vous ?''
Mettons le cas où il y en a 2, un qui n'a pas joué le jeu, donc crevé de faim, l'autre si, donc voyages etc.. il m'a fallu le défendre et j'y ai perdu... quelques forces, le harcèlement a duré 4 ans 4 ans (salope jalouse envieuse ratée minable, tu ne comptes pas le sais-tu ? Je voudrais te voir morte etc...  ) un des enfants l'a entendu, alors les propos genre ''mon chéri tu ne dois pas juger'' mmm ? C'est pourquoi les propos oblatifs de ''bienveillantes'' (je crois qu'elle se définit ainsi mmmm .. ben oui, moi aussi, j'ai 2 jambes et je respire de l'oxygène, non ? Pas vous ? Vous, vous sautez sur un pied et respirez du CO2 tiens tiens, intéressant) peuvent raisonnablement AGACER ! disons ... comme un gus qui crèverait de faim à qui, en le lui reprochant, (tavéka) on proposerait des pilules contre les indigestions parce qu'à ''Moi ça réussit parfaitement ''...

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