jeudi 30 mars 2017

Politique version cul et multi pub


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la politique vueduku

http://chantsphilo.blogspot.fr/2017/03/la-politique-vue-du-cul.html

Le dossier
http://chantsphilo.blogspot.fr/2017/03/la-politique-vueduku.html

la politique vue du cul


































HL : Politique ? Spectacle ? Publicités ? On ne sait plus. Il faut bien attirer les annonceurs zut alors sinon comment achèterait-on les Experts, Esprits criminels, Feux de l'amour et Dr Housse que les américains ne veulent plus mais dont vous, vous régalez après souper Lidle (promo artichauts en ce moment et poticourge 2 € seulement et bio.) Et au fond ça revient moins cher qu'un acteur pro ou même un pas connu au chom'du qui demandera presque rien ! Coup double, triple, quadruple, tous les produits s'intriquent et se soutiennent : le mec, les chaussures, un vêtement, ici je verrais le pantalon, une marque de dépilatoire, un produit ou un coiffeur spécialisé défrisage doux, un bouquin -on en voit deux en avant scène, il suffirait de recadrer-, des plantes, -idem-; un canapé et même au fond une caméra ! Voire une agence immobilière 'investissez dans la pierre, propriétés en multi ou solo svec jardin à une heure de Paris''.
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Oulala : ''Qu'est ce que c'est que cette analyse de psy de bar du coin d'une photo, oulala !''
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HL : Une analyse ... d'analyse ! mais sur le mode 'oulala'... la dialectique se perd mes amis !
Cependant vous me donnez une idée, ma chère oulala, (en fait je l'avais déjà mais du coup elle se précise), je vais de ce pas au petit Lidle decheumoi, juste en bas, très réputé précisément pour ses légumes bio, c'est rare chez eux, on y voit certes les zabituelles mères immigrées en surpoids surchargées d'enfants, leur caddy plein, qui ensuite attendent patiemment (en file sous l'arche du pont de chemin de fer, au milieu des poubelles puantes,) le bus de "la plaine aux coquelicots' (encore une appellation à contr'emploi qui montre à quel point on se fout du prole ! pour des blocs de HLM donnant sur la 2 fois 2 voie vers V2!)... mais aussi et de plus en plus quelques  'bobos', eux, venus de l'autre côté, Vanves, Issy... si ce n'est.... Montparnasse ! Vouiiiiii! (mon ex) plus âgés, minces, bien conservés, espèce rarissime en ces contrées discount, (vélos, parfois électriques ! ou vélib, casques spé, sacs en carton marqués 'recyclé', et toute la panoplie) et...  je livre ici, non, plutôt sur blog (depuis le temps konmeledemande) les promo du jour encore en lice, car ça disparaît vite (pour ne pas faire double emploi avec leur catalogue qui collige celle de la semaine ) mais pour ce coup je leur demande ... mettons ? je ne sais pas encore, (après tout, 10 millions de vues sur 'G plus', ça n'est pas rien !) on verra à l'inspire...  publicités avec évidemment l'image ici en cause, modifiée de temps en temps avec d'autres interviewés (car Fifi même s'il est le meilleur question pantalons clairs campagne, mains tendues et zieudevelours, n'est pas le seul)... qu'au moins cette mascarade qui ne dit même pas son nom (il faudrait trouver un terme qui qualifie une comédie -gratuite- qui se donne pour le vrai et qui se joue SUR FOND DE RÉEL QU'ELLE DÉMENT !) serve à quelque chose.. Ainsi par exemple ... si, mettons Polanski faisait un film dénonçant la pédophile et enchaînait les interviews entre autres sur ce thème, ça ferait hurler...  et bien cais c'est exactement ce que font certains ''zompoltics'' lorsqu'ils parlent de restrictions civiques hélas nécessaires en cette période de crise... bla bla... et il y a tout de même des ''oulalas'' et parfois des 'bien-mieux-que-cela' (mais ceux là y ont en principe un intérêt perso) pour les défendre.
Explications SVP. Je cale.

Le dossier
http://chantsphilo.blogspot.fr/2017/03/la-politique-vueduku.html

dimanche 26 mars 2017

Enfants malades psy et mères otages de médecins, de psychiatres et autres diafoirus maîtres chanteurs chic et chocs


Voir ''fabrication de la maladie psy, à droite ds la colonne des liens ''perles de psy''
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A propos du fil initié par Hélène (O) et Marthin et d'autres... merci ! Je fus une de ces mères otages de diafoirus de tout poils... coûteux et parfois empirant...  (pour cela mieux vaut être pauvre, on vous diagnostiquera moins d'horreurs à traiter d' HURRGENNNCE sinon c'est la mort -de l'enfant- et ça sera votre faute ! ) que riche, et hélas nous l'étions!  Lisez et ... ne faites pas comme moi qui me suis livrée à des psy-sectes, lesquels à 800 Fr la séance m'ont persuadée (ainsi que ma fille) que j'étais toxique et que je devais la lâcher, des psy tous ''azerty'' (une religion devenue communauté) -mais pas moi- tous ''azerty'' donc comme mon ex... et dont le médecin qui nous y avait envoyés était sympathisant, une aubaine on était.

http://chantsphilo.blogspot.fr/2017/03/pour-moi-ce-fil-est-tellement-important.html

Je ne l'ai presque plus vraiment revue sauf récemment (10 ans après, je ne l'aurais pas reconnue dans la rue!) pour des papiers de succession et pffft partie mais je ne souhaitais pas autre chose, à présent, la douleur s'est un peu atténuée puis s'est transformée en... en autre chose, parfois de l'agacement (car elle a tout de même fait leur jeu, contre moi). Je crois que même mon ex, qui a été, consciemment ou non, l'artisan de ce gâchis, en a été choqué... peiné ?  Prise de conscience tardive d'un résultat qui peut être à dépassé ses ''espérances'' ? (mais j'ai consenti, croyant ainsi la protéger -de moi même ! - ? Ou ennui d'avoir perdu un levier ? Je ne sais (lorsque son téléphone sonnait -elle consentait parfois très rarement !  àl'appeler, en ppe pour des raisons pratiques- il me disait : ''pousse toi s'il te plaît'' ou s'en allait quelques pas plus loin pour chuchoter... ''tu sais bien qu'elle ne veut plus aucun contact avec toi''!) Tandis que là, devant mon attitude (après le notaire) à peine ai-je voulu m'asseoir quelques minutes, je l'ai vu interloqué

 Note, si j'ai l'air ici si détachée c'est : 1 qu'ils ont gagné (les psy, mon ex etc..) on est devenues des étrangères l'une pour l'autre comme ils l'ont imposé mais c'est malgré tout elle qui l'a initié... (ça atténue voire occulte la douleur sinon insupportable)
et 2 : que par la suite mon ex a tenté (inconsciemment ou pas) de la favoriser au détriment de son frère, ce à quoi j'ai réussi à m'opposer au terme d'une lutte épuisante de plusieurs années qui du reste n'est pas finie : elle ayant (plus ou moins) pris son parti et lui, (plus ou moins... non, réellement ! le mien, c'est à dire celui de la justice) il fallait bien marquer le coup.
''JE vais donner la rue P. à M... '' JE ! .... ou alors...  ''Euh... je t'envoie le document à signer à St A. ou  A ? C'est comme tu veux, remarque ce serait encore plus simple que tu me fasses une procuration'' ... Il y eut aussi, sur le mode 'gentil' : ''Mais voyons ma chérie, réfléchis ! (!) Et ne t'inquiète pas, JE donnerai plus tard à Fred...'' (Non ! pas ''plus tard''!) ... ''QUOIII ? Maintenant ? Mais JE ne peux pas ! Comment ? Tu n'as donc pas confiance en moi ?'' (Aucune!) ... ''Ah! et bien, ça alors ! Après tant d'années de vie commune!'' (''Justement'' !) ... ''Ah oui !? justement ? Bravo !...'' (Là on peut placer les épisodes hard comme ''ratée! minable! jalouse ! envieuse! tu as toujours été un parasite !'' etc). Ou encore, revenant à charge sur un autre mode : ''Mais tu sais très bien que JE les aime tous les deux pareillement, voyons ! sois sérieuse, comment peux-tu t'imaginer un instant que je pourrais spolier mon propre fils, mon propre fils à moi !'' etc. 5 ans. Colères, fureurs alternant avec séductions et plaintes (''mais enfin, j'ai fait 700 km pour ça, s'il te plaît, tout est réglé, ne fais pas ta mauvaise tête ! Allons tout est encore possible entre nous tu sais bien que tu es et demeures mon Grand Amour ! '')

 JE... JE ... JE ... JE...  JE ... JE...  JE...  JE ... JE    !  Il n'a jamais pu admettre ni même comprendre que dans un couple, l'argent gagné appartient aux deux : dans la culture ''azerty'', les femmes ne comptent guère, du moins si elles se révoltent et par exemple se barrent, sinon au contraire elles peuvent profiter, parfois outrageusement, du mec (entretenues, confort ou luxe, plage, masseurs, shopping et cancans ... pendant que des 'bonnes' sous payées s'occupent des gamins -car tout de même il en faut-) du mec qui s'épuise à la tache (et parfois en meurt) mais qui ne bronche pas.
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Hélène Oraison
Pour celles et ceux qui ignorent ce fléau. La seule solution avec un parent PN est d'éloigner le plus possible l'enfant, le danger est beaucoup trop grand. Il ne faut plus aucun lien entre le parent et l'enfant. Le fils du manipulateur pervers narcissique que j'ai côtoyé s'est suicidé, très jeune. J'ai fini par comprendre qui était responsable de cette mort. Et cette mort est le premier outil du PN, son arme favorite : il apitoie ses victimes en se faisant passer pour un père éploré, alors qu'il éprouve une véritable, une inimaginable JUBILATION en évoquant la mort de son fils. Je n'aurais pas cru que cela était possible.

HL
 Tu l'as vécu ou vu ?

Marthin
Je le vis.

HL
 C'est inimaginable. Même sans le vivre ni l'avoir vécu,  j'ai connu quelqu'un/e (une femme) de cette eau, je croyais qu'il s'agissait d'un cas extraordinaire et n'en avais jamais parlé. Pour t'en sortir il te faut peut-être... je ne suis rien pour te donner un conseil...  mais bon. .. l'écrire? Pour d'autres aussi : si j'avais su cela possible ds la vie courante, ça m'aurait aidé, autrefois, mais j'ai tjrs pensé : 1 que je me trompais et 2 : qd le déni ne fut plus possible, qu'elle était un phénomène marginal et m'en suis éloignée vite vite, j'ai  écrit certes (ms pas directement sur elle ou du moins sur ça) et me suis efforcée de ne plus y penser
 http://femmesavenir.blogspot.fr/2011/08/le-syndrome-de-s.html
(Il s'agit évidemment d'Adèle.)

Marthin
.. vu les lectures que je me suis infligée, signaux, mots "d'alerte" ignorés par tous, justice, école, travailleurs sociaux, (à mettre en corrélation avec le phénomène de harcèlement scolaire non pris en charge, encore en cours de lecture d'un livre) savons-nous si des plaintes contre l'état ont été formulées après le suicide d'enfants ou d'ados où le parent protecteur a tout fait pour alerter en vain le monde médico-judiciaire qui s'en f ? A creuser du côté des cas de harcèlement scolaire, je crois avoir lu de telles choses. Aucune étude sur le suicide dans ces cas ? tabou ?

Marthin
L'article citant Cyrulnik parle d'environnement sensoriel troublé avec dépression de la mère, problème familiaux. Quid des enfants harcelés à l'école, va t'on encore dire que c'est la faute de la mère ? Ras-le-bol de ces raccourcis culpabilisateurs. Cela serait-il identique dans le cas que vous citez ? Oserait-on encore accuser la mère qui aurait "projeté" son mal-être sur l'enfant ? Ses angoisses de protection qui auraient découlé sur cet acte ? Usant, révoltant, fatigant de lire que la mère est fautive de tout, comme si le contexte environnemental était absent, comme si les autres protagonistes n'existaient pas et comme si personne d'autre n'avait sa part de responsabilité. Va t'on encore longtemps dénigrer les mères ? Certains vont avancer qu'elle est atteinte de dépression post-partum (encore un jugement de valeur balancé à toute sauce) alors que les mères sont justes épuisées, laminées car le pn ne fera rien pour l'aider et fera croire aux autres que c'est lui qui fait tout ?

Aude
Cf les mythes autour des mères resp de l'autisme initiés par un célèbre psychanalyste qui n'avait traité qu'un seul cas mais écrivait bien. Mères captatrices, ou manipulatrices donc il faut casser le lien et enseigner à l'enfant à aimer son père, le remettre totalement au père,quoiqu'il ait fait ou qui qu'il soit. On craint l'enseignement véhiculé par les mères, mais on ne craint absolument pas l'enseignement véhiculé par un père violent calculateur et considérant les autres uniquement  comme des outils utiles à son égo.

Nicole
Oui il jubilait à la mort de mon neveu avec ses fausses larmes, jusqu'au bout il a eu peur qu'il ne parle, il est accouru tout de suite à cote du corps qui était dans le coma, quand il m'a vue près de lui ! Il y a un autre petit garcon tué ! Oui, il jubilait, et savourait la souffrance qu'il procurait ! Du vécu ! Ne baissez pas la garde

Isa
À la TS d'une de nos filles il m'a dit si elle fait ça c est bien qu'elle a quelques choses à te reprocher ! bien sûr la faute de la mère le père est au dessus de tout !

http://chantsphilo.blogspot.fr/2017/03/pour-moi-ce-fil-est-tellement-important.html

HL
 Pour moi ce fil est tellement important que je vais le tramsmettre sur blog... car je viens grâce à vous de comprendre, hélas 20 ans après !  ... pas mal de choses que je n'avais pas saisies. C'est à dire cmt j'ai perdu ma fille. Si je vous avez lues plus tôt. .. (absurde puisque je suis plus âgée!)
A la fois ça me déculpabilise et m'attriste un peu, parce que peut être  (pas sûr) j'aurais pu l'éviter. Pas sûr... parce qu'à force de ...? de persuasion, d'entendre sur tous les tons des mecs, QUE DES MECS ! dont certains peut être étaient de bonne foi (?) on... (enfin JE) j'ai donc fini par accepter le verdict, consciemment ou pas :  je suis toxique (enfin c'est plus compliqué car elle aussi est un peu disons... spéciale, mais bon je simplifie) donc pour elle je dois m'éclipser. A jamais. (Elle l'initia, également brieffée, elle avait 13 ans.)
Ce que j'ai fait. La douleur est inimaginable mais il le fallait. Car le pire est qu'elle aussi l'a cru sans dte (ms redite, elle avait 13 ans). Voire initié ? briefée par son père qui m'en voulait d'être partie? je ne sais pas. (Reste qu'elle a ou avait peut être tout simplement un problème pour lequel ni les médecins ni aucun de nous n'étions pour rien.)

Il reste aussi que je ne me suis pas battue, (ou si, mais contre moi ! ) craignant que tout ce que je pourrais faire aille à son encontre (je n'en étais pas tellement sure, j'avais tout de même un peu repéré les charlots, mais ds le doute.. l'enjeu était trop lourd, on ne joue pas avec la vie de son enfant,  ils me persuadaient que tout ce que je pourrais faire, sous entendu de non autorisé, se retournerait contre elle, et ds le doute... mais foi, je ne bronchais pas.)

Mais contrairement au cas que vous citez, ici  le père, ni ne tenait (ni les psy ne le préconisaient) à la prendre en charge. Il voulait être libre, enfin débarrassé du fardeau que représentait pour lui la famille ou plutôt les enfants, auxquels, malgré ses professions de foi, il ne s'était jamais vraiment intéressé, ou disons 5 minutes par jour. C'est ma mère qui l'a fait (très bien) puis une de ses tantes (très bien ss dte ?) pas le père (soit il ne le ''devait'' pas, soit ne le désirait pas, soit les deux car il était en phase complète avec les psy, comme des comparses aurait-on dit, il est vrai que c'était lui qui payait).

A l'époque, aisés, nous étions donc sous la coupe de médecins de tout poils et notamment de ces psy à 800 F la séance (1heure, doublée si dépassement) non remboursée mais le grand jeu ! avec caméras, appartement spécial (?) etc... SYSTÉMIQUE on dit (je n'étais pas contre, au contraire, c'est moi qui l'avais initié puisque c'était le seul moyen de lui éviter l'HP et qui sait ? Peut-être ai-je eu raison ?) ... et tant pour moi était grande la peur qu'elle ne meure que nous acceptions tout d'eux, argent, diatribes (en fait stt contre moi) etc... c'était comme si nous étions livrés à une sorte de ''secte''.... {où, vous allez rire! nous avions été envoyés par un médecin de ''famille'' (qui  pompait une à trois consult par semaine à la sécu pour rien voire pour pire, ms il y tenait ferme, il avait des traites fort lourdes à payer, (ses attitudes accrocheuses et sa vie privée étaient connues ds le quartier) me menaçant si je lui faisais défaut -car le plus svt c'est moi qui amenait Mariane au cabinet- des pires choses, cad de sa mort} bref, une pseudo secte donc formée de types d'origine azerty -une religion-  (comme mon ex et...  dont le médecin qui nous y avait envoyés était un sympathisant actif !) tous évidemment des mecs.... 

Autant dire que je n'ai pas pu faire le poids mais je m'en foutais, tout ce que je voulais était qu'elle guérisse ou du moins ne meure pas (car ils ne ns avaient guère laissé d'espoir quant à une guérison définitive.) Voilà comment j'ai perdu ma fille.

samedi 25 mars 2017

Élections, le moment de ... vérité ? non, révélations


Élection, la campagne comme on dit ! Le révélateur mieux que l'héliantine ou le tournesol, du/des machos de base, subtils, à peine dessinés ou grossier.... des petits lapsus ? même pas, des façons de parler, voilà, hautement significantes ici COMPTE TENU QUE CHAQUE MOT, CHAQUE EXPRESSION, CHAQUE SOURIRE PEUT ÊTRE SONT PASSÉS AU  CRIBLE DE PRO DE LA MANIPULATION DE MASSE, QUI PEUVENT INDIFFÉREMMENT BOSSER POUR DANONE OU LE PEN, C'EST UN JOB. Donc quand il y a tout de même un surnageant qui a passé le filtre, c'est TRÈS EMMERDANT! Et il y a gros à parier qu'une fois élu, le gus .. mais passons, je suis comme ça, un mauvais esprit en quelque sorte...

Ça rappelle des trucs. Oyez oyez les nanas ! Il en va de même parfois lorsqu'on rencontre un type, au départ, tout va bien, il est assez beau, ou du moins il a du charme, voire super, idéologiquement on est en phase complète. .. mais ça, c'est avant qu'on ait donné notre accord définitif pour le nommer sur le poste, -c'est à dire avant les élections-... TOUT VA BIEN SAUF QUE...  il y a... ô trois fois rien, juste un ou deux petits trucs dérangeants, une addition au restaurant qu'il a épluchée avec une grande attention, (c'était son tour de payer), faisant même venir le serveur pour une explication assez sèche (tiens, vous ne lui connaissiez pas encore ce ton là ?) .. pendant que vous lui répondiez au sujet de Husserl, justement sur le passage des Méditations le plus important ("toute conscience est conscience de quelque chose'') ... une manière de parler de Simone de Beauvoir visiblement sans jamais l'avoir lue...  d'avoir été le seul dans le groupe qui s'était constitué ce soir là (avec deux amies proches et un pote à lui) à ne pas avoir dit son origine... après tout, il avait le droit, mais bon, étrange...  le nom même qu'il vous avait donné qui n'était pas celui de sa carte d'étudiant tiens ! bizarre, lorsque vous l'aviez présentée au guichet du cinéma, vous aviez éprouvé un étonnement qui n'était pas encore un malaise... la manière désagréable (ça il fallait bien le reconnaître!) de se moquer de l'accent méridional de Sylvie en la singeant (mais elle avait été la première à en rire)..  de vous avoir laissé porter une valise fort lourde sur un trajet, ma foi, assez long ! sans y penser une seconde... et jusqu'à sa façon inédite de vous ''tenir'' enlacée par l'épaule mais en s'appuyant sur vous ! ce qui au bout d'un moment vous avait fait mal sans que vous n'ayiez osé le lui dire. Rien de grave. C'est sa démarche particulière qui veut ça.. il a bien le droit de ne pas vouloir dire son nom et d'ailleurs, Bertrand, ça ressemble à Bernard...  quant à sa religion d'origine, s'il n'a pas voulu la mentionner, ça doit provenir du racisme qu'il a peut être subi... et pour l'addition finalement, il a eu raison puisqu'il a repéré 2 Fr indus... d'accord, ça manque d'élégance et ça ne se fait pas, mais bon, il a une autre culture, et c'est vrai, 2 Fr, ce n'est pas beaucoup mais il a l'air très pauvre et il a du courage de travailler tout en étudiant durement...  et puis se moquer de Sylvie ce n’était pas si grave, après tout, il faut reconnaître que, fille de pasteur, elle a parfois vraiment l'air de débarquer Bible et bêche à la main de son St Jean du Gard natal dont elle est si fière. Rien de grave.

Et c'est ainsi que vous vous trouvez avec un homme que vous n'avez jamais vraiment connu, dissimulé à l'extrême, dont vous ignorez jusqu'à la nature du travail, le salaire, les placements effectués...  un avare exigeant de vivre dans un taudis malgré des revenus de cadre sup, un déficient culturel frimeur et arrogant de caste (à tort) méprisant tout le monde, surtout les femmes, surtout non azerty, sans presque le cacher, un incapable distrait et égocentrique, inempathique au point de se moquer d'un pauvre gus immigré qui portait un énorme carton qui tombait tout le temps etc etc...

Ce qui est extraordinaire, c'est que tout cela, VOUS L'AVIEZ VU EN FILIGRANE MAIS AVIEZ REFUSÉ D'EN TENIR COMPTE ! De même pour la campagne électorale, soyez vigilantes !

De même la plupart des femmes qui ont été agressées (viol ou autre) à l'analyse disent avoir SENTI quelque chose qui les avait mises mal à l'aise,  mais être passées outre en se reprochant même leur intuition (je deviens parano)... ce gus trop aimable qui semble vouloir l'aider à porter un filet très léger, qui entre dans l'immeuble malgré ses injonctions aimables ('merci, ça ira') qui insiste pour lui tenir la porte alors qu'elle est automatique etc.. celui qui dans un tram vous aborde gentiment...  mais comme si vous étiez sa meilleure amie (alors que visiblement vous n'avez rien à lui dire ni lui), qui vous demande s'il peut s'installer à coté de vous, mais il s'est déjà installé avant votre réponse, qui va ensuite vous fatiguer avec le sport qu'il fait, ses tendinites etc... puis vous TOUCHER le genou pour vous dire toujours gentiment qu'il y a une tache sur votre pantalon -à peine visible- ajoutant, penché vers vous, à l'oreille, avec un sourire déplaisant et les yeux brillants ''je n'ose pas vous dire ce que ça évoque''! Etc. ..   le feu rouge s'est éclairé mais elles ont refusé d'en tenir compte la plupart du temps.  Les 3/4 du temps c'est rattrapable, mais parfois, ça ne l'est pas

vendredi 24 mars 2017

Le carnisme en une image


Un fil sur FB, Hélène contre Hélène, faut-il supprimer L'ASE ?

 http://femmesavenir.blogspot.fr/2011/08/le-syndrome-de-s.html

''FAUT-IL SUPPRIMER L'ASE ? D'Hélène Oraison
De réformes en réformes, la protection de l’enfance ne cesse de se s’enliser dans un désastre sans fin, entrainant dans sa décadence l’exécration de l’institution judiciaire et de l’action sociale. La volonté politique, toujours insuffisante même lorsqu’elle s’intéresse au sujet, semble d’ailleurs impuissante à enrayer le fléau des abus de pouvoir et, pire encore, la honte que constitue pour la France le business florissant du placement abusif.

Les campagnes de désinformation et de dénigrements constantes orchestrées par ses acteurs, parfois avec la complicité des médias ou leur silence coupable, ne parviennent pourtant plus à masquer depuis longtemps une réalité terrifiante : sous le couvert de l’autorité publique, l’intérêt de l’enfant est devenu un enjeu financier pour les catégories socio-professionnelles bénéficiant des subsides de l’état et des conseils départementaux afin de remplir une mission dont la seule conséquence, à l’heure actuelle, est un alarmant constat d’échec : les enfants placés sont maltraités dans les institutions, battus ou violés, et restent pourtant dans 80 % des cas placés jusqu’à leur majorité ; ce qui prouve au mieux la parfaite incompétence des services de l’Ase (le but du placement étant, à contrario, de préparer le retour des enfants au domicile parental), au pire un cynisme criminel destiné à faire fonctionnemer indéfiniment la machine à cash. Lorsqu’ils sortent enfin du système, condamnés à 18 ans, ces enfants finissent dans la rue, en prison ou terroristes.

Il apparaît clairement que l’Aide sociale à l’enfance, dans notre pays, appartient à un autre âge. Cette administration n’est plus en mesure de répondre aux besoins de la protection de l’enfance, et surtout, son organisation territoriale, tellement sectorisée qu’elle semble plus armée que la police elle-même pour organiser ses chasses à l’enfant, est purement terrifiante. Le harcèlement en réseau systématique et sans fin dont les parents sains sont victimes, dès lors qu’ils sont ciblés par ses services ou les associations qui travaillent avec elle, met en œuvre des méthodes de décomposition élaborées afin de les détruire socialement. L’objectif est généralement atteint facilement, avec la complicité d’intervenants disséminés dans diverses institutions, et tous les moyens à disposition des personnels travaillant dans les services publics ou judiciaires.

Cela n’est plus supportable, admissible encore moins. Il est temps de réfléchir à une alternative, efficace et soucieuse des mineurs qu’il faut prendre en charge comme de leurs familles. Puisque les lois, mêmes nouvelles, ne sont jamais appliquées, c’est à une autre organisation de la protection de l’enfance qu’il faut aujourd’hui réfléchir. Et il convient en priorité de concevoir un fonctionnement dans lequel la protection ou le placement d’un enfant ne sauraient être lié à un rendement financier, ce qui est purement et simplement une aberration''

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Hélène Larrivé:
Petit pb qb même.  Voici.  http://femmesavenir.blogspot.fr/2011/08/le-syndrome-de-s.html

Pour résumer,  ANITA ici à été placée (retirée?  Abandonnées?) la famille dit retirée mais en fait c'est plus compliqué ; ils n'ont jamais cherché à la retrouver, prétendant pourtant qu'on les en avait empêchés (faux, Léna le démontra en cherchant, dès qu'elle apprit l'histoire,la petite qui alors avait 13 ans :  elle fut mise en contact avec celle-ci au bout de 10 jours).. Et c'est alors que sa famille qui soi disant la cherchait désespérément REFUSA DE la voir ! (Et cette ''famille'' se prit de ? agacement... haine ? pour Léna, l'artisane  de  ces retrouvailles en réalité non souhaitées par eux. Ils avaient honte parce que la petite  était née hors mariage.) Pour Anita, ce fut un second rejet, pire que le premier ! Puis, lorsque la DDASS l'imposa,  lorsque la etite eut 17 ans, cad 4 ans après !  ils ne tarirent pas de protestations indignées vis à vis, je cite , de ''ces fonctionnaires incompétents et fainéants  qui avaient bousillé leur nièce ou petite fille, bla bla.. Le fait est que la petite, qui était belle, marrante, brillante quoique totalement inéduquée  (Victor de l'Aveyron!) avait subi 10 ? placements ou plus et été agressée sexuelle ment et violée plusieurs fois, sans que personne n'intervienne ... et était devenue alcoolique, (elle se suicida -à l'alcool -peu après .)

 Alors , lorsque je lis cela, Hélène, je ne sais pas. Parce que les invectives contre la DDASS continuent ! indécentes, odieuses, venant de gens qui ont été pires! (Agression sexuelles incestueuse , et contre la mère d'Anita au départ, et contre ANITA ensuite lorsqu'elle revit, forcée, ses grands parents, à 17 ans -mais elle se défendit avec brio, c'était devenu une loubarde,  tandis que sa mère, elle, 17 ans auparavant, n'avait pas pu ou su protester.) Anita assurait être issue de son grand père et de sa mère, raison de l'expulsion de sa mère et d'elle même de la maison, du village puis de l'arbre généalogique... et de la misère (milieu immigré récent, catho borné, à peu près analphabète, le père avait interdit à ses filles d'étudier, y compris pour l'aînée, au collège soi disant pour préserver leur vertu ! ) la misère donc ensuite qui avait conduit  la maman (devenu prostituée ) à l'abandonner.

FAUT-IL SUPPRIMER L'ASE ? Je ne sais pas. Je crains que la petite n'eût été tuée sinon.

mercredi 22 mars 2017

La photosynthèse le cycle de la vie










Je ne sais pas pour qui voter


Offres comparatives. p


Un certain tricheur, yapakefilon


Anne Boleyn, unee femme difficile


Pensée de Deleuze


Humour l'islam revu en une image


Les différentes sortes de carnistes en une image


Désopilant ne ratez pas la vidéo ! les nménages", un journaliste piège les labos

http://ecologine.blogspot.fr/2010/12/conflits-dinteret-les-medicaments-des.html
Comment payer un journaliste connu pour animer un colloque de cardiologues, afin que ceux-ci ne posent pas de questions gênantes sur un médicament contre le cholestérol. Un journaliste peut-il toucher 5000 euros pour animer une réunion pour un labo X et être ensuite objectif avec les produits de ce laboratoire ?
 http://www.dailymotion.com/video/x340kd_les-menages-pour-l-industrie-de-jou_news

Éloge des tournois

Via Matti. A propos d'une jeune fille violée en réunion dont les agresseurs ont obtenu des circonstances atténuantes sur la base qu'il s'agissait d'une ''fille facile''..
(http://chantsphilo.blogspot.fr/2017/03/eloge-des-tournois.html

Matti : -  "Fille facile" quelle horreur ces mots d'un autre siècle {ndlr, d'un autre siècle, peut être mais disons que les 'autres' siècles, -passés voire assez lointains- contrairement au cliché, semblaient par certains cotés plus 'justes' vis à vis des femmes}...  prouvent que ce siècle est régressif, cette adolescente violée par plusieurs garcons qui ont été innocentés. (....) Une fille, une femme qui ont une vie sexuelle active sont stigmatisées, jugées et indignement traitées de "filles faciles." Est-ce qu'on traite les hommes de faciles s'ils baisent ? Non ils sont félicités (....) La vie sexuelle des femmes sert d'excuse pour qu'on laisse des garcons les violer tranquilles...  libres comme s'ils n'avaient pas commis de crime! {ndlr, et cela ressemble à un encouragement pour faire des émules et décourager les victimes, déjà peu nombreuses à oser le faire, à porter plainte ! } Les mots "consentement" et "facile" coulent de source de la bouche de ces crétins et crétines de juges en france. Stigmatisons la justice en france ainsi que les violeurs et les incesteurs. Je les mets ds le même sac.''

H -- C'est le constant 'double bind'* que ns subissons parce que, si elles sont ''faciles'' c'est qu'à force de demandes, supplications... (on dit DRAGUER, autrefois ''faire la cour'' ) elles ont fini par accepter, parfois JUSTE POUR FAIRE PLAISIR. C'est comme si un alpiniste se prenait à haïr l'Anapurna parce qu'il aurait réussi à arriver à son sommet. Aussi ''logique''!
La sexualité, l'amour peut être même ! sont perçus par les hommes comme un SPORT, une chasse, une performance à accomplir (comme Julien Sorel -qui se prend pour Napoléon à la veille d'une bataille- et se fait le serment : ou il va enfin oser se déclarer auprès de Madame de Rénal -une aristocrate dont le mari est arrogant et odieux vis à vis du petit précepteur qu'il est- ou il va se tuer le soir même). Plus c'est difficile, plus ils aiment. (Ms à la différence que dans un sport, on ne hait pas la montagne escaladée ni l'animal abattu qu'on a mangé.)

 Cela a toujours été? Je ne sais pas, mais au Moyen-âge, et jusqu'au? 17 ou 18 ième, les duels ou les tournois (incroyablement violents, imaginez deux gus tout de fer vêtus de 30 à 50 kg d'armure lancés l'un contre l'autre au galop à 40 km/h armés d'une lourde lance, qui s'envoyaient littéralement en l'air à chaque tour, l'un remplaçant le vainqueur -blessé ou mort- vite dégagé dans la sciure, -un entraînement pour la guerre- ! ) partaient un peu du même ppe, chacun des jouteurs portant les couleurs de sa ''dame'' à séduire. Avec une certaine liberté de moeurs puisque les maris, prétendants officiels, fiancés etc n'y voyaient pas malice..
ÇA, ok.. comme c'etait duraille il n'y avait pas pléthore à l'arrivée, et du reste même en cas de victoire, la dame ne couchait pas forcemrnt ! mais la situation des f s'est dégradée; actuellement plus de tournois, on saute et hop et s'il y a rouspétance après on dira qu'elle a adoré. Qu'elle était facile, que dotrelonfait bla bla..
Notez que si la femme violée est par exemple âgée ou ''moralement impec'' (selon leur critères) l'excuse sera opposée : c'est une moche, une frustrée, une kaimepalézommes et ça justifie aussi.. comme disait Coluche, elle a bien de la chance qu'on l'ait violée  Monique!

Prenons a contrario l'exemple d' Anne Boleyn qui a refusé durement (7 ans!) les avances pressantes d' Henri 8, marié (il voulait juste en faire sa maîtresse et sans doute la jeter après ) qui est traitée de sale garce ... de 'pute'... un paradoxe absurde puisque toute l'histoire venait de ce que précisément elle se refusait ! {sincérité d'une ultra pieuse tendance protestante qui ne rigolait pas avec la morale (?) ou calcul d'une courtisane  (féminin de courtisan!) aguerrie, elle seule le sait mais ce n'est pas la question }. Pute tout de même !  Non de coucher mais d'avoir suscité le désir du mec. Aucune alternative ici sauf la mort, (c'est pourquoi elle m'intéresse ) ou elle accepte et c'est une pute, ou elle refuse et c'est qd même une p. De toutes manières, une femme est une 'pute'.

http://femmesavenir.blogspot.fr/2012/08/anne-boleyn-un-fils-ou-la-hache.html


 

dimanche 19 mars 2017

Samantha, par Polanski

Samantha, 13 ans photographiée par Polanski !




























En vrac, les meilleures images de blog

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Affaire Polanski, le témoignage de la victime


 https://lebloglaquestion.wordpress.com/2009/11/07/polanski-les-details-sordides-du-viol/
 
Affaire Polanski, le témoignage du viol
Extraits de la déposition de la victime (13 ans)
devant le Tribunal de Los Angeles en 1977
 (traduit en français)
roman_polanski__samantha_geimer_aged_13

Le 24 mars 1977, Samantha Geimer (née Samantha Jane Gailey) témoignait devant le Grand Jury du comté de Los Angeles.

Attention, certains passages sont très choquants !

Le 24 mars 1977, Samantha Jane Gailey, appelée en tant que témoin devant le Grand Jury du comté de Los Angeles, a prêté serment :

Le Président :

Melle Gailey, voulez-vous lever votre main droite, s’il vous plaît.

Jurez-vous solennellement devant Dieu que les faits que vous allez rapporter maintenant devant le Grand Jury du comté de Los Angeles seront la vérité, toute la vérité et rien que la vérité ?

Le témoin :

Oui

Le Président :

Merci. Asseyez-vous. Déclinez votre identité et parlez directement dans le micro afin que chacun puisse vous entendre, s’il vous plait.

Le témoin :
Maintenant ? Samantha Jane Gailey.

Audition par Mr Gunson, District Attorney adjoint du Conté de Los Angeles

Q : Samantha Gailey, quel âge avez-vous ?
R : 13 ans
Q : Vous habitez avec votre mère et votre sœur dans une résidence à Woodland Hills ?
R : Oui

[…]

Q : Quand M. Polanski est venu le 10 [mars, NDLR] 1977 à votre résidence, que vous a-t-il dit ?
R : Il était pressé. Il n’a pas…
Q : Que voulez-vous dire par « il était pressé » ?

R : Il dit « Allons-y. La lumière baisse. Dépêche-toi. Prend tes vêtements. ». Et j’allais lui dire : « est-ce que mon amie peut venir avec nous ». Mais je ne l’ai pas fait car il me pressait.
Q : Et alors est-ce que vous êtes partie avec M. Polanski ?
R : Oui
Q : Est-ce qu’il vous a dit où il allait ?
R : Chez son ami.
Q : Est-ce qu’il vous a dit le nom de cet ami ?
R : Non

[…]

Q : Comment étiez-vous habillée à ce moment là ?
R : Mon sous-vêtement et une serviette.
Q : A un moment donné vous avez remis votre culotte ?
R : Oui, je l’ai mise immédiatement quand je suis rentrée dans la salle de bain.
Q : Qu’est-il arrivé quand vous vous êtes assise sur le divan ?
R : Il s’est assis à côté de moi et m’a demandé si j’étais OK.
Q : Qu’avez-vous dit, si tel est le cas ?
[…]

R : Je voulais répondre « Non, je pense que je ferais mieux de rentrer à la maison » parce que j’avais peur. Mais j’y suis allée et je me suis assise sur le divan.
Q : Vous aviez peur de quoi ?
R : De lui.
Q : Et alors vous êtes allée dans l’autre pièce et vous vous êtes assise sur le divan ?
[…]

R : J’ai dit « Non ».
Q : Qu’a-t-il dit ?
R : Il a dit « Bien, tu vas aller mieux »
Et j’ai dit « Non, je ne vais pas aller mieux. Je dois aller à la maison ».
Q : Qu’est-il alors arrivé ?
R : Il m’a enlacée et il m’a embrassée. Et je lui disais : « Non », vous savez, « laissez-moi ». Mais j’avais un peu peur de lui car il n’y avait personne d’autre là-bas.

Q : Après vous avoir embrassée, a-t-il dit quelque chose ?
R : Non
Q : Avez-vous dit quelque chose ?
R : Non, pourtant je voulais dire « Non. Allez, rentrons à la maison »
Q : Qu’est ce qu’il a dit après que vous avez dit que vous vouliez retourner à la maison quand vous étiez assise sur le divan.
R : Il a dit « Je vais bientôt te ramener à la maison ».
Q : Alors qu’est-il arrivé ?
R : Alors il est descendu et il a commencé à me faire des câlineries.
Q : Qu’est-ce que cela veut dire ?
R : Cela veut dire qu’il est descendu le long de mon corps c’est à dire qu’il a mis sa bouche sur mon vagin.

[…]

Q : Qu’a-t-il fait quand il a mis sa bouche sur votre vagin ?
R : C’était comme s’il me léchait, je ne sais pas. J’étais prête à pleurer. J’étais en quelque sorte…Je voulais dire « Non. Allez. Arrêtez ». Mais j’avais peur.
Q : Et qu’a-t-il dit, si tel est le cas ?
R : Autant que je m’en souvienne, il ne disait rien. Il était… quelques fois il disait des trucs mais j’essayais juste de le repousser, vous savez.

[…]
Q : Qu’est-il arrivé après ça ?
R : Il a commencé à avoir un rapport avec moi.
Q : Que voulez-vous dire par rapport ?
R : Il a mis son pénis dans mon vagin.
Q : Qu’avez-vous dit, si tel est le cas, avant qu’il ne fasse ça ?
R : Je n’arrêtais pas de dire « Non. Arrêtez ». Mais je ne luttais pas vraiment parce que je, vous savez, il n’y avait personne et je n’avais aucun endroit où aller.
Q : Qu’a-t-il dit, si tel est le cas ?
R : Il ne m’a pas répondu quand j’ai dit « non ».
Je pense qu’il… qu’il disait quelque chose mais je ne l’écoutais pas et je ne m’en souviens pas.
Q : A ce moment là, votre culotte était enlevée ?
R : Oui.
Q : Comment aviez-vous enlevé votre culotte ?
R : Il l’a enlevé.
Q : Quand était-ce ?
R : Après m’avoir embrassée il s’en est saisi et l’a retirée.

[…]

Q : Comment avez-vous su qu’il avait son pénis dans votre vagin ?
R : Je pouvais le dire. Je pouvais le sentir.
Q : Qu’est-il arrivé après qu’il a dit « Veux-tu que je te… étais-ce par derrière ? ».
R : Oui.
Q : Qu’est-il arrivé alors ?
R : Je pense qu’il a dit quelque chose comme, juste après que j’ai dit que je ne prenais pas la pilule, juste avant il a dit « Oh, je ne viendrai pas dans toi alors ».
Et je suis allée…Et il va…Et il m’a mis…Attendez. Puis il m’a levé les jambes et il est entré par mon anus.
Q : Quand vous dites qu’il est entré dans votre anus, que voulez-vous dire par là ?
R : Il a mis son pénis dans mon derrière.
Q : A-t-il quelque chose à ce moment là ?
R : Non.
Q : Avez-vous résisté à ce moment là ?
R : Un petit peu mais pas vraiment parce que…(pause).
Q : Parce que quoi ?
R : Parce qu’il me faisait peur.

[…]

Q : Savez-vous s’il a eu un orgasme ?
R : Oui.
Q : Et comment le savez-vous ?
R : Parce que je pouvais le sentir et c’était dans mon sous-vêtement. C’était dans mon sous-vêtement. C’était dans mon derrière et tout ça.
Q : Quand vous dites ça vous pensez qu’il a joui dans votre anus ?
R : Oui
Q : Qu’est-ce que jouir veut dire ?
R : Que son sperme est sorti.

[…]

Q : Sur le chemin de la maison est-ce qu’il vous a dit quelque chose ?
R : Il a dit quelque chose comme… Je ne me rappelle plus quand il a dit ça. Il a dit que…
Q : Quand vous dites que vous ne vous rappelez plus quand, est-ce que c’était dans la voiture ou…
R : C’était avant que je sorte dehors. Je ne me rappelle pas exactement quand.
Q : Avant que vous ne sortiez dehors à quel moment ?
R : Quand nous étions dans la pièce. Nous n’avons pas beaucoup parlé sur le chemin de la maison.
Q : Qu’est-ce qui s’est dit ?
R : Il m’a dit « Oh, ne dit rien de cela à ta mère » Et il a dit… Il a dit…, « Oh… ».
Q : Qu’avez-vous dit ?
R : Je ne disais rien.
Il a dit « ne dit rien de cela à ta mère ni à ton petit ami ».
Et j’ai dit… Il a dit quelque chose comme « C’est notre secret ».

[…]

Q : Savez-vous quel âge à Roman Polanski ?
R : La quarantaine, je pense.

Traduction réalisée par HaOui.com. Traduction originale : http://www.haoui.net/newsletter/2009/Octobre13/exclusif/index.html



L'article base http://chantsphilo.blogspot.fr/2017/03/de-httpchantsphilo.html

Le sucre, une exception alimentaire... dangereuse

 Les dégâts causés par des drogues comme le canabis, la cocaïne sont moins impt. que ceux causés par le sucre ! Dans l'expérience sur les rats, s'il n'y en a plus, ils se battent! Et laissent tomber la coke, moins addictive ! Cela semble presqu'une compulsion. La qté ingérée est énorme, et ils continuent jusqu'à ce que leur ventre soit plein à éclater.  Pauvre rats ! Mais c'est ce que ns faisons à nos enfants, ce que les pubs nous font aussi. Arrêtez!

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Qu'est-ce que le sucre ? Le sucre ou saccharose est issu de la photosynthèse {le processus magique par lequel les plantes -ici, dites saccharifères- croissent à partir de la lumière et de l'atmosphère* dans laquelle elles vivent qu'elles transforment en un produit végétal spécifique, (racines, feuilles, lignifcation, fleurs, fruits, sève) } le saccharose don, issu de plantes saccharifères comme (entre autres) la canne, la betterave, l'érable, le palmier... est formé d'hydrogène, d'oxygène et de carbone et sa formule est C12 H22 O11.

*Et de l'eau, mais cela ne fait pas partie du processus de photosynthèse (photo = lumière.)

C'est sans doute le plus vieil aliment connu et apprécié de l'homme, par les fruits et les légumes (oignons, carottes, navets..) qu'il affectionnait à cause de ce produit qu'il ne savait pas encore identifier, dont il raffolait.
(En fait, dans les fruits il y a 3 sucres, le glucose, le fructose et le saccharose, (une molécule elle même faite des deux autres -fructose et glucose accolés, qui parfois se séparent-). Le fructose est le plus sucré, le glucose plus doux, le saccharose, entre les deux. (Le fructose n'est donc pas seulement le sucre des fruits malgré son nom.)
(Dans le cycle de Krebs, celui de la dégradation des aliments ds l'organisme animal qui aboutit à l'énergie et à la matière -graisses, muscles, os...-, il occupe une place importante. Il est donc un élément fondamental.)

Et pourtant, actuellement on le sait responsable de maladies dites de civilisation,
diabète, maladies cardio vasculaires, caries et toute la cohorte qui va avec*.. Comment un aliment vital est-il devenu toxique? Par l'excès. Et ce qui le rend possible, le raffinage, la transformation, son insinuation absolument partout y compris ds ... des saucisses ! Le tout sous tendu par le tropisme-profit, socle de base de l'industrialisation alimentaire. 

Autrefois, au siècle dernier, nous consommions 1 kg de sucre par an, essentiellement issu du miel. Actuellement 40 ! Et nous ne le consommons plus pour nous nourir mais pour...  lutter contre le stress, meubler la vie sociale, frimer, le plaisir, par oisiveté voire à titre de récompense ... nous l'avons transformé en médicament, en drogue.

* Avec les produits animaux dont ledit ''viande'', encore plus toxiques et pour le con sommateur et pour la terre.
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 Avantages, inconvénients immédiatement visibles* (les deux sont totalement intriqués!)

1 Le sucre est un antidépresseur ? oui, mais... dangereux, comme tous (car du coup, addictif).
2 Addictif ? Oui. Plus on en mange, plus on veut, plus on a envie d'en manger nous allons le voir avec l'expérience sur de malheureux rats.
3 Il génèrerait une attraction innée contrairement à tous les autres aliments ? Il semble que oui.
4 Il épuise? Oui, en raison du pic d'insuline qu'il génère et de la chute ensuite (hypoglycémie) d'où le sommeil qui vous prend après un repas sucré.

* Car les autres, ptt plus graves, ne sont pas visibles, du moins à l'oeil nu, ou pas identifiables comme ayant pour origine le sucre {vieillissement, durcissement des tissus par la glycation, (la molécule de sucre qui s'accroche sur celle des protéines des muscles, de la peau... et rend rigides leurs tissus) d'où pb cardiaques, artériels et ss dte cérébral...} Il faut noter que certains de ces pb sont immédiatement résolus après l'arrêt voire la diminution des sucres dits ajoutés comme le rapporteront les internautes qui ont fait l'expérience, notamment la peau qui redevient plus '' jeune'' (les rides et plissures s'estompent.)
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Expériences du sevrage

Une expérience relatée par deux internautes, l'arrêt de tout sucre dit ''ajouté'' industriellement, car on ne peut pas s'en passer.

1 c'est une gageure car le sucre (le saccharose) est partout, (sans parfois qu'on ne le détecte ni ne le sente,) et sous toutes sortes de formes même soi disant saines (le sucre roux pae ex n'est que du saccharose non débarrassé des impuretés, donc sans produits de lessive en effet, le miel, n'est que de l'eau et du glucose, fructose et saccharose... Et même la farine dont les grains sont associés en  chaîne par un liant qui est... le glucose!
2 c'est une gageure car on y est plus accro qu'au tabac, à la coke etc... ns allons le voir.


 Il s'agit de mettre son métabolisme au repos (car on a besoin de sucre!)  et faire en sorte que l'organisme en fabrique ms ss en rajouter en plus. Donc plus de sucres à l'indice glycémique élevé dits ''rapides'' (gâteaux, bonbons..) ; plus de sucre à l'indice glycémique bas, dits lents, un peu de pain complet mais pas de pain blanc ... et 2 fruits par jour.*
Pas plus car le fructose, contrairement aux autres sucres, est métabolisé par le foie... foie qui, s'il doit traiter en m temps du sucre et du gras, et c'est qu'il aura à faire à tous les coups ! ne le peut pas... donc stockera le gras (ce qui fera... du foie gras!) Le fructose du fruit toutefois est moins toxique car il apporte des fibres et il est mieux absorbé.
Le sucre donc a tendance à se transformer en graisse qd on ne le brûle pas tout de suite, et en plus, en graisse abdominale, parfois peu visible mais plus dangereuse qu'une autre (engorgeant la zone foie-pancréas-bile et pouvant obstruer un canal).

*Mais il faut se garder de petits plaisirs parfois !  Sinon on risque la rechute totale... etb de se jeter sur n'importe quoi.

Avant expérience, l'examen de l'internaute (mince) lui donne comme composition corporelle (pour un h, le pourcentage de graisse est de 15 %, pour une f,  de 25 % . si c'est plus, il y a des risques de perdre du muscle) 26%, ce qui est quasi normal.
Et c'est parti !

Première conséquence, le stress !  elle ne pense qu'à ''ça''.  normal! Pendant le sevrage, on rêve de gâteaux, tout le temps ou presque. Elle tente le yoga... la méditation. Cela l'aide? Peut être. Puis elle se rapproche de la communauté des ''no sugar'' (surtout aux usa) et d'un membre, Vladislas qui a lui totalement arrêté le sucre ajouté. Conséquence, déprime au début, mal tête, mauvaise humeur...  cela ne dure qu'un mois mais c'est pénible dit-il. Il en est sorti et en pleine forme, et cherche à faire profiter de ce changement d'autres qui le tentent.

1 Pour les courses, c'est galère car il y a ses sucres PARTOUT! Il opte pour les produits les moins raffinés et les moins transformés possibles. Il se sent maintenant un gd besoin de légumes, de fruits et précise-t-il, éprouve une joie de vivre dès le matin qu'il n'avait pas avant. Mais même ds les produits bio, il y a du sucre, sous une autre forme, tt aussi toxique : malt, sirop de riz, dextrose = sucre ! Il leur fait la chasse. ''On doit se battre non contre des animaux ms contre l'industrie alimentaire. Le sucre est partout, biscotte, jambon, sauces et même le bouillon kub etc..''

2 L'avis du spécialiste cuisine
Le sucre, le sel et la graisse c'est ce qui donne le goût. Et ce n'est pas cher.
Donc si on élimine le sucre, le gras, le sel... on mange triste. Ms qd on mange des produits non transformés, on mange local et il n'y a pas besoin d'additif car ils sont déjà goûteux. 
Le petit déjeuner des français est rapide et comprend 90% de sucre, pas de pain mais des brioches indus, des jus de fruits bien concentrés en sucres, du café ou chocolat sucrés....  d'où l'explosion des maladies de civilisation. Les pubs autrefois et même maintenant ns y poussent.
Mais au bout d'un mois de carottes et céleri, dit-il, c'est triste ! mais on peut faire des gâteaux ss sucre ajoutés avec une carotte râpée et une poire coupée cuites ..  qu'on laisse se déssécher, dont on ne garde ensuite que la pâte. Plus..  amandes en poudre... et voilà !
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Deux expériences
1 Avec des enfants. Elle confirme : le sucre rend addict ! Après un goûter de gâteaux ss sucres ajoutés, on leur présente des gâteaux industriels, pleins de polluants, colorants, sucres etc... et ils se jettent dessus même s'ils n'avaient plus faim !
Le sucre active dans le cerveau tout ce qui est dopamine , sérotonine etc.... neuromediateurs qu'on retrouve ds les addictions aux drogues. 

2 L'expérience avec des rats. On les a drogués à cocaïne et au sucre... et bien, lorsque, en ''manque'', ils ont le choix, ils se précipitent vers le sucre et dédaignent la coke ! autrement dit, LE SUCRE REND PLUS DÉPENDANT QUE LA COKE!  Les dégâts causés par des drogues comme le canabis, la cocaïne sont moins impt que ceux causés par le sucre ! S'ils n'en plus, ils se battent ! Cela semble presqu'une compulsion. Question : que se passerait-il pour l'h si soudain on manquait de sucre?
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La question des sodas
Elle est dramatique car on peut boire en quelques mn 1,5 litre d'un liquide qui contient 20 morceaux de sucre.... sans s'en apercevoir et leur consommation a augmenté de 10% ... De plus, ils sont responsables de l'épidémie d'obésité à hauteur de 29% !
Or, l'homme s'est sélectionné en f de sa capacité à stocker vite et bien les graisses, qualité fondamentale pour sa survie à l'époque préhistorique, mais à présent funeste !... et notre alimentation raffinée aggrave encore à l'autre bout le risque, certain, d'obésité.  De plus, on est faits pour des fibres et on n'en a plus ds la nourriture industrielle donc on n'a plus le sentiment de satiété qu'elles nous procurent, stt avec les liquides. Et toutes ces calories accumulées génèrent l'obésité.
1,5 l de soda = 20 morceaux de sucre que notre cerveau n'est pas équipé pour gérer.
Et ces didascalies,  on les bois glacées si bien qu'on ne peut se rendre comte combien ils st sucrés ; mais si on les chauffe, c'est immonde !
Résultat : 46 % des français st en sur poids, 16% obèse, 9 % st des jeunes.

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Expériences
Le sucre, préférence alimentaire innée, à l'exception des autres préférences alimentaires qui seraient acquises ? Oui. L'enfant veut du sucre et du gras, pas de l'amer!;Un bébé avalera avec plaisir un biberon d'eau sucrée et refusera l'eau salée !
Autre expérience, les enfants consomment ( plus en qté) de fromages blancs qd il st sucrés...  ms ensuite la qté de sucre ne va plus influer sur la ''demande'' accrue des enfants si on l'augmente.
Et à 3 ans, nos préférence alimentaires si déterminées.
Et à 7 ans, nos seuils de perception du sucre st déterminés cad que plus on va donner de sucre à un enfant, plus il en voudra. L'addiction est installée .
Idem pour les singes.
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Bilan ; positif (identique pour les 2 internautes,  2 f de 43 et 50 ans)
1 mois après avoir enlevé tout sucre ajouté, re examen.
19% de graisse avant, 16% à présent  (mais 1 kg de muscles en moins aussi car l'organisme humain a horreur qu'on lui a change ses habitudes, il faut compter un an pour y parvenir ss autres désavantages, ici mineurs.)
1 kg de muscles brûle 30 calories/jour sans bouger. Donc moins on a de muscle et plus on risque l'obésité.
Conclusion :
Plus de fatigue, la peau en meilleur état, moins de rides, 3% de graisses en moins, 3 kgs en moins, plus de ventre et plus d'énergie en général. ..
 

http://chantsphilo.blogspot.fr/2017/03/le-sucre-lindice-glycemique-et-le.html

samedi 18 mars 2017

Photos de couples improbables

































Tant que ces images ne choqueront pas.... c'est que rien n'est gagné. Ces couples improbables sont l'indice de la misogynie d'une groupe social, d'une culture. Voir article plus ancien.

Polanski, un mini viol sans importance. Images de couples improbables

 Suite de http://chantsphilo.blogspot.fr/2017/03/polanski-samanthe-images.html
où se trouve le lien avec le récit du viol par la petite. Pas à lire à table SVP. Alors Catherine? Tu en dis quoi ? Un mini viol? Un viol allégé ? Le problème est que dans certains milieux (ici le cinéma) cr type d'affaires est tellement courant que ça génère une sorte de tolérance (Monroe, Wood, etc..)

 De même de voir une très jolie fille avec un affreux (mais un décideur producteur ou seulement célèbre, reconnu et pesant son poids) même ''jeune'', même doté de quelque talent, même mariés, ça met ... peut-être ? mal à l'aise mais ça passe, et n'est même pas pointé... c'est à cela qu'on perçoit le degré de misogynie d'une société, d'une culture, d'un groupe social, cela vaut à St Gudule comme à Hollywood ou Ouagadougou.

Marylin et John Hyde, qui lui avait promis de la rendre célèbre avant de mourir. il a tenu parole. Mais...












  
















Le cinéma qui fait nécessairement se côtoyer de toutes jeunes et jolies filles, choisies pour cela,... et de vieux messieurs dont le charme est plus... discutable ! même en simple amitié permet ces dérives. Du coup, certaines ne s'offusquent pas trop devant .... les suites parfois prévisibles. Lorsqu'un gus tient entre ses mains la carrière d'une ou de plusieurs belles filles obnubilées à l'idée de devenir stars, comment s'étonner dans la structure sociale actuelle, qu'il en profite, surtout si rien ne se passe ensuite ? si ce n'est d'être soutenu par d'autres, voire par leurs victimes elles mêmes ?


C'est à l'absence de réaction devant ce type d'images et de couples que l'on peut mesurer le degré de misogynie d'une groupe social, d'une culture, d'une nation.

Tant que, sous prétexte de.... d'ouverture d'esprit!  ce type de couples ou d'images ne ''choqueront'' pas, du moins de manière ouverte, tant qu'on se taira, on peut se dire qu'on a affaire à une société à la misogynie max.
 http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/02/nathalie-wood-les-dessous-de-hollywood.html

 le témoignage sur le coup de la victime
http://chantsphilo.blogspot.fr/2017/03/affaire-polanski-le-temoignage-du-viol.html