http://femmesavenir.blogspot.fr/2011/08/le-syndrome-de-s.html
''FAUT-IL SUPPRIMER L'ASE ? D'Hélène Oraison
De réformes en réformes, la protection de l’enfance ne cesse de se s’enliser dans un désastre sans fin, entrainant dans sa décadence l’exécration de l’institution judiciaire et de l’action sociale. La volonté politique, toujours insuffisante même lorsqu’elle s’intéresse au sujet, semble d’ailleurs impuissante à enrayer le fléau des abus de pouvoir et, pire encore, la honte que constitue pour la France le business florissant du placement abusif.
Les campagnes de désinformation et de dénigrements constantes orchestrées par ses acteurs, parfois avec la complicité des médias ou leur silence coupable, ne parviennent pourtant plus à masquer depuis longtemps une réalité terrifiante : sous le couvert de l’autorité publique, l’intérêt de l’enfant est devenu un enjeu financier pour les catégories socio-professionnelles bénéficiant des subsides de l’état et des conseils départementaux afin de remplir une mission dont la seule conséquence, à l’heure actuelle, est un alarmant constat d’échec : les enfants placés sont maltraités dans les institutions, battus ou violés, et restent pourtant dans 80 % des cas placés jusqu’à leur majorité ; ce qui prouve au mieux la parfaite incompétence des services de l’Ase (le but du placement étant, à contrario, de préparer le retour des enfants au domicile parental), au pire un cynisme criminel destiné à faire fonctionnemer indéfiniment la machine à cash. Lorsqu’ils sortent enfin du système, condamnés à 18 ans, ces enfants finissent dans la rue, en prison ou terroristes.
Il apparaît clairement que l’Aide sociale à l’enfance, dans notre pays, appartient à un autre âge. Cette administration n’est plus en mesure de répondre aux besoins de la protection de l’enfance, et surtout, son organisation territoriale, tellement sectorisée qu’elle semble plus armée que la police elle-même pour organiser ses chasses à l’enfant, est purement terrifiante. Le harcèlement en réseau systématique et sans fin dont les parents sains sont victimes, dès lors qu’ils sont ciblés par ses services ou les associations qui travaillent avec elle, met en œuvre des méthodes de décomposition élaborées afin de les détruire socialement. L’objectif est généralement atteint facilement, avec la complicité d’intervenants disséminés dans diverses institutions, et tous les moyens à disposition des personnels travaillant dans les services publics ou judiciaires.
Cela n’est plus supportable, admissible encore moins. Il est temps de réfléchir à une alternative, efficace et soucieuse des mineurs qu’il faut prendre en charge comme de leurs familles. Puisque les lois, mêmes nouvelles, ne sont jamais appliquées, c’est à une autre organisation de la protection de l’enfance qu’il faut aujourd’hui réfléchir. Et il convient en priorité de concevoir un fonctionnement dans lequel la protection ou le placement d’un enfant ne sauraient être lié à un rendement financier, ce qui est purement et simplement une aberration''
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Hélène Larrivé:
Petit pb qb même. Voici. http://femmesavenir.blogspot.fr/2011/08/le-syndrome-de-s.html
Pour résumer, ANITA ici à été placée (retirée? Abandonnées?) la famille dit retirée mais en fait c'est plus compliqué ; ils n'ont jamais cherché à la retrouver, prétendant pourtant qu'on les en avait empêchés (faux, Léna le démontra en cherchant, dès qu'elle apprit l'histoire,la petite qui alors avait 13 ans : elle fut mise en contact avec celle-ci au bout de 10 jours).. Et c'est alors que sa famille qui soi disant la cherchait désespérément REFUSA DE la voir ! (Et cette ''famille'' se prit de ? agacement... haine ? pour Léna, l'artisane de ces retrouvailles en réalité non souhaitées par eux. Ils avaient honte parce que la petite était née hors mariage.) Pour Anita, ce fut un second rejet, pire que le premier ! Puis, lorsque la DDASS l'imposa, lorsque la etite eut 17 ans, cad 4 ans après ! ils ne tarirent pas de protestations indignées vis à vis, je cite , de ''ces fonctionnaires incompétents et fainéants qui avaient bousillé leur nièce ou petite fille, bla bla.. Le fait est que la petite, qui était belle, marrante, brillante quoique totalement inéduquée (Victor de l'Aveyron!) avait subi 10 ? placements ou plus et été agressée sexuelle ment et violée plusieurs fois, sans que personne n'intervienne ... et était devenue alcoolique, (elle se suicida -à l'alcool -peu après .)
Alors , lorsque je lis cela, Hélène, je ne sais pas. Parce que les invectives contre la DDASS continuent ! indécentes, odieuses, venant de gens qui ont été pires! (Agression sexuelles incestueuse , et contre la mère d'Anita au départ, et contre ANITA ensuite lorsqu'elle revit, forcée, ses grands parents, à 17 ans -mais elle se défendit avec brio, c'était devenu une loubarde, tandis que sa mère, elle, 17 ans auparavant, n'avait pas pu ou su protester.) Anita assurait être issue de son grand père et de sa mère, raison de l'expulsion de sa mère et d'elle même de la maison, du village puis de l'arbre généalogique... et de la misère (milieu immigré récent, catho borné, à peu près analphabète, le père avait interdit à ses filles d'étudier, y compris pour l'aînée, au collège soi disant pour préserver leur vertu ! ) la misère donc ensuite qui avait conduit la maman (devenu prostituée ) à l'abandonner.
FAUT-IL SUPPRIMER L'ASE ? Je ne sais pas. Je crains que la petite n'eût été tuée sinon.
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