dimanche 26 mars 2017

Enfants malades psy et mères otages de médecins, de psychiatres et autres diafoirus maîtres chanteurs chic et chocs


Voir ''fabrication de la maladie psy, à droite ds la colonne des liens ''perles de psy''
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A propos du fil initié par Hélène (O) et Marthin et d'autres... merci ! Je fus une de ces mères otages de diafoirus de tout poils... coûteux et parfois empirant...  (pour cela mieux vaut être pauvre, on vous diagnostiquera moins d'horreurs à traiter d' HURRGENNNCE sinon c'est la mort -de l'enfant- et ça sera votre faute ! ) que riche, et hélas nous l'étions!  Lisez et ... ne faites pas comme moi qui me suis livrée à des psy-sectes, lesquels à 800 Fr la séance m'ont persuadée (ainsi que ma fille) que j'étais toxique et que je devais la lâcher, des psy tous ''azerty'' (une religion devenue communauté) -mais pas moi- tous ''azerty'' donc comme mon ex... et dont le médecin qui nous y avait envoyés était sympathisant, une aubaine on était.

http://chantsphilo.blogspot.fr/2017/03/pour-moi-ce-fil-est-tellement-important.html

Je ne l'ai presque plus vraiment revue sauf récemment (10 ans après, je ne l'aurais pas reconnue dans la rue!) pour des papiers de succession et pffft partie mais je ne souhaitais pas autre chose, à présent, la douleur s'est un peu atténuée puis s'est transformée en... en autre chose, parfois de l'agacement (car elle a tout de même fait leur jeu, contre moi). Je crois que même mon ex, qui a été, consciemment ou non, l'artisan de ce gâchis, en a été choqué... peiné ?  Prise de conscience tardive d'un résultat qui peut être à dépassé ses ''espérances'' ? (mais j'ai consenti, croyant ainsi la protéger -de moi même ! - ? Ou ennui d'avoir perdu un levier ? Je ne sais (lorsque son téléphone sonnait -elle consentait parfois très rarement !  àl'appeler, en ppe pour des raisons pratiques- il me disait : ''pousse toi s'il te plaît'' ou s'en allait quelques pas plus loin pour chuchoter... ''tu sais bien qu'elle ne veut plus aucun contact avec toi''!) Tandis que là, devant mon attitude (après le notaire) à peine ai-je voulu m'asseoir quelques minutes, je l'ai vu interloqué

 Note, si j'ai l'air ici si détachée c'est : 1 qu'ils ont gagné (les psy, mon ex etc..) on est devenues des étrangères l'une pour l'autre comme ils l'ont imposé mais c'est malgré tout elle qui l'a initié... (ça atténue voire occulte la douleur sinon insupportable)
et 2 : que par la suite mon ex a tenté (inconsciemment ou pas) de la favoriser au détriment de son frère, ce à quoi j'ai réussi à m'opposer au terme d'une lutte épuisante de plusieurs années qui du reste n'est pas finie : elle ayant (plus ou moins) pris son parti et lui, (plus ou moins... non, réellement ! le mien, c'est à dire celui de la justice) il fallait bien marquer le coup.
''JE vais donner la rue P. à M... '' JE ! .... ou alors...  ''Euh... je t'envoie le document à signer à St A. ou  A ? C'est comme tu veux, remarque ce serait encore plus simple que tu me fasses une procuration'' ... Il y eut aussi, sur le mode 'gentil' : ''Mais voyons ma chérie, réfléchis ! (!) Et ne t'inquiète pas, JE donnerai plus tard à Fred...'' (Non ! pas ''plus tard''!) ... ''QUOIII ? Maintenant ? Mais JE ne peux pas ! Comment ? Tu n'as donc pas confiance en moi ?'' (Aucune!) ... ''Ah! et bien, ça alors ! Après tant d'années de vie commune!'' (''Justement'' !) ... ''Ah oui !? justement ? Bravo !...'' (Là on peut placer les épisodes hard comme ''ratée! minable! jalouse ! envieuse! tu as toujours été un parasite !'' etc). Ou encore, revenant à charge sur un autre mode : ''Mais tu sais très bien que JE les aime tous les deux pareillement, voyons ! sois sérieuse, comment peux-tu t'imaginer un instant que je pourrais spolier mon propre fils, mon propre fils à moi !'' etc. 5 ans. Colères, fureurs alternant avec séductions et plaintes (''mais enfin, j'ai fait 700 km pour ça, s'il te plaît, tout est réglé, ne fais pas ta mauvaise tête ! Allons tout est encore possible entre nous tu sais bien que tu es et demeures mon Grand Amour ! '')

 JE... JE ... JE ... JE...  JE ... JE...  JE...  JE ... JE    !  Il n'a jamais pu admettre ni même comprendre que dans un couple, l'argent gagné appartient aux deux : dans la culture ''azerty'', les femmes ne comptent guère, du moins si elles se révoltent et par exemple se barrent, sinon au contraire elles peuvent profiter, parfois outrageusement, du mec (entretenues, confort ou luxe, plage, masseurs, shopping et cancans ... pendant que des 'bonnes' sous payées s'occupent des gamins -car tout de même il en faut-) du mec qui s'épuise à la tache (et parfois en meurt) mais qui ne bronche pas.
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Hélène Oraison
Pour celles et ceux qui ignorent ce fléau. La seule solution avec un parent PN est d'éloigner le plus possible l'enfant, le danger est beaucoup trop grand. Il ne faut plus aucun lien entre le parent et l'enfant. Le fils du manipulateur pervers narcissique que j'ai côtoyé s'est suicidé, très jeune. J'ai fini par comprendre qui était responsable de cette mort. Et cette mort est le premier outil du PN, son arme favorite : il apitoie ses victimes en se faisant passer pour un père éploré, alors qu'il éprouve une véritable, une inimaginable JUBILATION en évoquant la mort de son fils. Je n'aurais pas cru que cela était possible.

HL
 Tu l'as vécu ou vu ?

Marthin
Je le vis.

HL
 C'est inimaginable. Même sans le vivre ni l'avoir vécu,  j'ai connu quelqu'un/e (une femme) de cette eau, je croyais qu'il s'agissait d'un cas extraordinaire et n'en avais jamais parlé. Pour t'en sortir il te faut peut-être... je ne suis rien pour te donner un conseil...  mais bon. .. l'écrire? Pour d'autres aussi : si j'avais su cela possible ds la vie courante, ça m'aurait aidé, autrefois, mais j'ai tjrs pensé : 1 que je me trompais et 2 : qd le déni ne fut plus possible, qu'elle était un phénomène marginal et m'en suis éloignée vite vite, j'ai  écrit certes (ms pas directement sur elle ou du moins sur ça) et me suis efforcée de ne plus y penser
 http://femmesavenir.blogspot.fr/2011/08/le-syndrome-de-s.html
(Il s'agit évidemment d'Adèle.)

Marthin
.. vu les lectures que je me suis infligée, signaux, mots "d'alerte" ignorés par tous, justice, école, travailleurs sociaux, (à mettre en corrélation avec le phénomène de harcèlement scolaire non pris en charge, encore en cours de lecture d'un livre) savons-nous si des plaintes contre l'état ont été formulées après le suicide d'enfants ou d'ados où le parent protecteur a tout fait pour alerter en vain le monde médico-judiciaire qui s'en f ? A creuser du côté des cas de harcèlement scolaire, je crois avoir lu de telles choses. Aucune étude sur le suicide dans ces cas ? tabou ?

Marthin
L'article citant Cyrulnik parle d'environnement sensoriel troublé avec dépression de la mère, problème familiaux. Quid des enfants harcelés à l'école, va t'on encore dire que c'est la faute de la mère ? Ras-le-bol de ces raccourcis culpabilisateurs. Cela serait-il identique dans le cas que vous citez ? Oserait-on encore accuser la mère qui aurait "projeté" son mal-être sur l'enfant ? Ses angoisses de protection qui auraient découlé sur cet acte ? Usant, révoltant, fatigant de lire que la mère est fautive de tout, comme si le contexte environnemental était absent, comme si les autres protagonistes n'existaient pas et comme si personne d'autre n'avait sa part de responsabilité. Va t'on encore longtemps dénigrer les mères ? Certains vont avancer qu'elle est atteinte de dépression post-partum (encore un jugement de valeur balancé à toute sauce) alors que les mères sont justes épuisées, laminées car le pn ne fera rien pour l'aider et fera croire aux autres que c'est lui qui fait tout ?

Aude
Cf les mythes autour des mères resp de l'autisme initiés par un célèbre psychanalyste qui n'avait traité qu'un seul cas mais écrivait bien. Mères captatrices, ou manipulatrices donc il faut casser le lien et enseigner à l'enfant à aimer son père, le remettre totalement au père,quoiqu'il ait fait ou qui qu'il soit. On craint l'enseignement véhiculé par les mères, mais on ne craint absolument pas l'enseignement véhiculé par un père violent calculateur et considérant les autres uniquement  comme des outils utiles à son égo.

Nicole
Oui il jubilait à la mort de mon neveu avec ses fausses larmes, jusqu'au bout il a eu peur qu'il ne parle, il est accouru tout de suite à cote du corps qui était dans le coma, quand il m'a vue près de lui ! Il y a un autre petit garcon tué ! Oui, il jubilait, et savourait la souffrance qu'il procurait ! Du vécu ! Ne baissez pas la garde

Isa
À la TS d'une de nos filles il m'a dit si elle fait ça c est bien qu'elle a quelques choses à te reprocher ! bien sûr la faute de la mère le père est au dessus de tout !

http://chantsphilo.blogspot.fr/2017/03/pour-moi-ce-fil-est-tellement-important.html

HL
 Pour moi ce fil est tellement important que je vais le tramsmettre sur blog... car je viens grâce à vous de comprendre, hélas 20 ans après !  ... pas mal de choses que je n'avais pas saisies. C'est à dire cmt j'ai perdu ma fille. Si je vous avez lues plus tôt. .. (absurde puisque je suis plus âgée!)
A la fois ça me déculpabilise et m'attriste un peu, parce que peut être  (pas sûr) j'aurais pu l'éviter. Pas sûr... parce qu'à force de ...? de persuasion, d'entendre sur tous les tons des mecs, QUE DES MECS ! dont certains peut être étaient de bonne foi (?) on... (enfin JE) j'ai donc fini par accepter le verdict, consciemment ou pas :  je suis toxique (enfin c'est plus compliqué car elle aussi est un peu disons... spéciale, mais bon je simplifie) donc pour elle je dois m'éclipser. A jamais. (Elle l'initia, également brieffée, elle avait 13 ans.)
Ce que j'ai fait. La douleur est inimaginable mais il le fallait. Car le pire est qu'elle aussi l'a cru sans dte (ms redite, elle avait 13 ans). Voire initié ? briefée par son père qui m'en voulait d'être partie? je ne sais pas. (Reste qu'elle a ou avait peut être tout simplement un problème pour lequel ni les médecins ni aucun de nous n'étions pour rien.)

Il reste aussi que je ne me suis pas battue, (ou si, mais contre moi ! ) craignant que tout ce que je pourrais faire aille à son encontre (je n'en étais pas tellement sure, j'avais tout de même un peu repéré les charlots, mais ds le doute.. l'enjeu était trop lourd, on ne joue pas avec la vie de son enfant,  ils me persuadaient que tout ce que je pourrais faire, sous entendu de non autorisé, se retournerait contre elle, et ds le doute... mais foi, je ne bronchais pas.)

Mais contrairement au cas que vous citez, ici  le père, ni ne tenait (ni les psy ne le préconisaient) à la prendre en charge. Il voulait être libre, enfin débarrassé du fardeau que représentait pour lui la famille ou plutôt les enfants, auxquels, malgré ses professions de foi, il ne s'était jamais vraiment intéressé, ou disons 5 minutes par jour. C'est ma mère qui l'a fait (très bien) puis une de ses tantes (très bien ss dte ?) pas le père (soit il ne le ''devait'' pas, soit ne le désirait pas, soit les deux car il était en phase complète avec les psy, comme des comparses aurait-on dit, il est vrai que c'était lui qui payait).

A l'époque, aisés, nous étions donc sous la coupe de médecins de tout poils et notamment de ces psy à 800 F la séance (1heure, doublée si dépassement) non remboursée mais le grand jeu ! avec caméras, appartement spécial (?) etc... SYSTÉMIQUE on dit (je n'étais pas contre, au contraire, c'est moi qui l'avais initié puisque c'était le seul moyen de lui éviter l'HP et qui sait ? Peut-être ai-je eu raison ?) ... et tant pour moi était grande la peur qu'elle ne meure que nous acceptions tout d'eux, argent, diatribes (en fait stt contre moi) etc... c'était comme si nous étions livrés à une sorte de ''secte''.... {où, vous allez rire! nous avions été envoyés par un médecin de ''famille'' (qui  pompait une à trois consult par semaine à la sécu pour rien voire pour pire, ms il y tenait ferme, il avait des traites fort lourdes à payer, (ses attitudes accrocheuses et sa vie privée étaient connues ds le quartier) me menaçant si je lui faisais défaut -car le plus svt c'est moi qui amenait Mariane au cabinet- des pires choses, cad de sa mort} bref, une pseudo secte donc formée de types d'origine azerty -une religion-  (comme mon ex et...  dont le médecin qui nous y avait envoyés était un sympathisant actif !) tous évidemment des mecs.... 

Autant dire que je n'ai pas pu faire le poids mais je m'en foutais, tout ce que je voulais était qu'elle guérisse ou du moins ne meure pas (car ils ne ns avaient guère laissé d'espoir quant à une guérison définitive.) Voilà comment j'ai perdu ma fille.

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