mardi 28 février 2017

Médecine, Marie Thérèse Hermange, le gendarme EST le voleur, comité d'éthique


Des amis fidèles c'est précieux !
La dame donc, sénatrice de son état, est mise en cause dans l'affaire du Mediator du laboratoire Servier (cf les écoutes téléphoniques, très claires,  voir plus loin !) parce qu'elle aurait fait appel à un expert relié à Servier afin qu'il ''revoit'' son rapport (et minimise un max la responsabilité du labo ... tout en insistant sur celle de... L'AFSSAPS ! ) Mise en examen le 27 avril 2013 pour trafic d'influence, Marie-Thérèse Hermange avait reconnu avoir rencontré Claude Griscelli "pour avoir une discussion'' (sur le dernier film de Kawasaki?) mais "le rapport était bouclé" (bien sûr ! ) et "aucun élément n'en a été modifié à sa demande'' (!) (et SANS SA DEMANDE ? Mmmmm ?)
C'est aussi vraisemblable que si le gus auquel on a mis un papier sous les yeux assurait ne pas l'avoir lu. Le rapport sénatorial avait en revanche épinglé l'Afssaps, qui ''semble avoir redécouvert tardivement des travaux publiés pourtant dès les années 1970'' sur le Mediator, autrement dit cépamoicélautre. Bon chien. Et c'est cette dame, qui donc a fait ses preuves, qui est actuellement nommée au ... Comité d'éthique, ce qui évoque irrésistiblement un lapin Président d'une société de chasse.

Et voilà pourquoi la médecine a perdu tout crédit auprès de la population, à juste titre. Ici le cas est flagrant d'un bidouillage destiné à blanchir le patron (Servier) par pote interposé choisi exprès, merci aux écoutes téléphoniquesaux* ! Cooptation ? Copinenasson ?  Fricasson, c'est le mot. Et les fricassés,  c'est nous.

*''J'ai bien relevé que les 500 morts... c'était pas scientifique.. hic ment prouvé... et insisté sur l'Afsaps ...'' ... Bon chien ! Nonos.
''Oui c'est bien ce qu'il faut faire, après tout c'est leur job de contrôler...''' ... (!)
(yaplus qu'à faitre traîner et y aura moins de monde à indemniser avant le/s procès).
Le dernier est prévu pour dans 2 ans ....  et voilà déjà la principale mise en examen gratifiée d'une nomination....  au comité d'éthique !  Un signe fort. Très fort. Non ?

https://www.marianne.net/societe/mise-en-examen-dans-l-affaire-du-mediator-mais-nommee-au-comite-d-ethique-de-l-academie-de?utm_campaign=Echobox&utm_medium=Social&utm_source=Facebook

Ségolène se lâche et copie Sarko

''S'ils n'ont plus de pain, qu'ils mangent de la brioche'' ...
''C'est une révolte ? Non, Sire, c'est une révolution!''
...
''Casse toi pauvre con!''
...
''Ils vont pas constituer euh, continuer à nous emmerder...''
...
''Valérie et moi c'est fini''...
...
''Carla et moi, c'est du sérieux. ..''

Mais pourquoi nous voyons nous retourner il y a trois siècles ? Ou dans Gala plus que dans ''Les mémoires d'espoir''?

Pourquoi lorsqu'on tapait dans Google, il y a peu, '' proxénétisme'' on voyait apparaître la tête de DSK, et ''abus de faiblesse, celle de Sarko, nos deux têtes de gondole pour la présidentielle, l'archétype fut mac et de l'escroc ? je suis fière !

Harcèlement mine de prévenir ou s'indigner, les pervers

A SAVOIR ET À SE RÉPÉTER LORSQU'UN GUS VOUS MET MAL À L'AISE !
L'OBSCÉNITÉ EST UNE FORME D'AGRESSION SEXUELLE !  UNE AGRESSION SEXUELLE QUI NE DIT PAS SON NOM, PARTICULIÈREMENT SOURNOISE, DIFFICILE À PARER.

 Ses formes sont infinies.  Ainsi ce ''politique'' qui en privé (en général) adorait se livrer à ce genre de sport, le soir, dans son petit local.. avec un regard insistant qui en disait long... sous forme de ''plaisanterie'', jamais évidemment sur la femme à qui il s'adressait, toujours sur une autre, si possible ennemie électorale.
"Mais c'était une blague voyons... on dit ça svt... une expression c'est tout'' rétorquait-il en cas de rebuffade, ''ne sois pas si coincée etc... la plupart des femme aime ! Non ? Elles font semblant ?  oh tu exagères ! ''

 Ou cet autre, encore plus pervers qui, sous prétexte d'indignation (!) alors que je ne m'y attendais pas, me mit sous le nez son portable avec des images porno et pas soft du tout, insistant alors que je détournait la tête ''attend, tu n'as pas vu le pire ! Tu vois les gamins maintenant comme ils sont, même lorsqu'ils ont été bien élevés, c'est dégueulasse non ? Moi ça m'écoeure. Pourquoi je les ai laissées ? Comme images d'ouverture ? bof suffit de pas les regarder" etc etc

Le salon de l'agriculture. Ave Caesar morituri....


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Et l'envers du décor,!





http://7.blogspot.fr/2017/02/eleveurs-suicide.html

... te salutent. Amis entends tu ?

Votre regard, cette calme innocence qui semble deviner pourtant..
(Un transfert, peut-être ? )
La curiosité de celle qui me cherchait du regard, amicale, joyeuse,
Mangeait dans son seau dès que je venais, cessant dès que je partais
Hé tu reviens? On peut causer tout de même !
Que j'ai trahie comme tous... Un porcelet sauvé ? UN ? une goutte !
(Enfin pas pour lui..)
Exploitation sur tout, beauté, poésie, affects, chair, peau, bouses, corne et laine
Les photos à 25 E allez allez, pour Mamie ! Avec un agneau... 
La famillette avec kilébolepetitveau,

Ave Caesar.
Et les bâffreurs à coté mangeant leurs frères, ''la Charolaise est plus goûteuse..''
''Moi je préfère le 'blanc-bleu' de Galles''... ''pfff ! rien ne vaut
Le Gris du Lot mais avec un beaujolais bien sec''...
Il y a même un veau en papier mouillé, tres réaliste,
Découpé en morceaux, avec leurs noms et leur goût.
Pédagogique.

Et quand vient le soir, des massaïs squelettiques,
En robe bleue, keffieh sur la tête enroulée, nez au sol, nettoient les bouses
De leurs frères sur nourris, aspirent les tapis rouges,
Briquent les tables de bombance, les barrières, 
Tandis que des blancs au Karchner, 
Désinfectent l'entrée en ciment
Et que le gratin picole, costard Micron

Dehors, dans le noir, les camions
Attendent.
Tous ne rentreront pas au paddock.

La détresse d'Émilie, harcèlement scolaire, mode d'emploi

 D'une spé ! Trois fois et je m'en suis tirée  (mais pas sans bleus ? Peut-être, peut-être pas!)
http://www.parismatch.com/Actu/Societe/Harcelement-scolaire-la-detresse-d-Emilie-1197881
Bouleversant...

 http://fabricationmaladiepsy.blogspot.fr/2012/10/racisme-besancon-contre-les-rouges-du.html
Politiquement pas très correct mais

tendre la joue gauche, désolée, ça ne marche pas !

lundi 27 février 2017

Préjugés les femmes avec des hommes plus âgés

Un fil sur FB au sujet de feuilletons tv où on voit systématiquement des femmes jeunes et belles avec de vieux types moches... un débat avec Anne qui dit être attirée par des hommes plus âgés  (10 - 15 ans) et n'y voit pas de mal, précisant souvent beaux...

H -Je ne sais pas Anne, le préjugé je l'avoue que j'ai parfois (ms il y a des cas differents) vis à vis des femmes qui sont avec des mecs plus âgés provient de ce qu'en règle générale elles ont CONSENTI, c'est le gus qui les a coursées avec toutes sortes d'arguments foireux qu'elles ont accepté , c'est ça qui m'embête, le cas est banal du type sur meetic ou autres qui se dit célibataire, divorcé, voire veuf ! et en fait prospecte pour pouvoir larguer sa femme (qui n'accepte plus ce qu'elle acceptait autrefois, hé oui les vieilles se libèrent parfois !) et éventuellement ses gosses, car  il y a des mecs qui ne supportent pas d'être seuls, je l'ai vécu et ça me ... disons m'énerve. Naïve, la jeune femme ? Peut être, peut être pas, en tout cas, il est difficile de croire qu'on n'a pas réfléchi aux drames que l'on allait peut être initier... quoique je répète,  il y a des cas. C'est une des raisons pur lesquelles je ne fais pas ce genre de truc.
 
A : - Oui enfin bon on peut très bien être une femmes qui a bcp de succès auprès des types de son âge et avoir une légère préférence pour des types un peu plus âgés et rencontrer qq'un de ce profil et qui soit divorcé  ou célibataire !

H : - Oui, on peut aussi être plutôt moche et sauter sur un type plus âgé, pas forcément minable physiquement d'ailleurs, ni riche (ou disons généreux)... qui a justement besoin de repos, de tranquillité (et/ou d'un pied à terre à tel endroit !) après avoir dû affronter une femme (de son âge) dont il s'est lassé car elle n'acceptait plus ou, DEVENUE MALADE À SON TOUR, n'avait plus la force de supporter, en vrac, son égoïsme,  sa maladresse, sa paresse (peut- être involontaire, reliée à une insuffisance), son avarice etc... et servir malgré soi d'argument de chantage sur le mode : ''chécatrin'cét'impec'' ou ''jpepavivrdan'c'bordel" voire ''j'lém'pamé ons'disput'jamé'' voire pire encore  ''nonelm'trompa'' voyons ! ''avecelpad'risq'' .... si ! ''j'te'dik'saris'rien'' s'il te plaîîît ... etc etc...   je suis dure ? Oui. Je ne fais que transcrire.

Éducation sexuelle avant et maintenant

Vous voulez que je vous dise comment à été effectué tuée (je laisse) mon ''éducation'' sexuelle ?

Ça devait être en ? j'avais environ 12 ans et ça ''menaçait'', urgent (cad mes règles, donc il fallait). Lydie (ma mère) une après midi d'un jeudi, juste après que nous étions passées dans Alès (?) ou Marseille ? devant la vitrine d'une boucherie particulièrement horrible, à l'époque on ne faisait pas dans l'emballage et la discrétion, ça m'écoeurait toujours, Lydie donc me prend à part dès qu'on arrive, grave, sèche, solennelle.

''J'ai quelque chose à te dire.'' Elle me fit asseoir dans la salle à manger, j'étais ravie malgré le ton car il n'était pas d'usage qu'elle s'intéressât à moi avec autant de ferveur. Et voilà. '' Il faut que je te parle de quelque chose que tu dois savoir car bientôt tu vas être une ... enfin une jeune fille disons, plus une enfant. Tu as compris? ''
Oui.
''Je continue. Je vais t'expliquer comment on fait les enfants. (Ouahhhh !  Folle de joie j'étais!  Enfin!)
'' Tu dois te le demander je pense (ouiiiii ! ) ... beaucoup de parents n'en parlent jamais parce qu'ils sont gênés, moi pas du tout. Tu feras de même plus tard. Et bien c'est très simple. Tu te souviens du cours de sciences naturelles sur le haricot ? Mademoiselle Dalverny, avec mon approbation, avait fait une sorte de sommaire pré programme. Tu te souviens des expériences qu'elle vous a fait faire ? (Ouiiiii !) Et bien voilà pour les hommes c'est pareil."
 Elle s'apprêtait à lever la séance lorsqu'elle se ravisa.

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-"Tu vois ?" (Euh... n.. non).
Elle reprit. ''Le haricot, je veux dire la graine telle que tu la vois et la mange, ne peut pousser que si elle a été fécondée, retiens le mot, par le père-haricot, qui envoie une poudre jaune, un pollen (ou spermatozoide) retiens le mot, portée par le vent ou les abeilles, et c'est ça qui crée un petit, un ou des bébés haricots si tu veux, cachés dans la gousse pour pouvoir se développer à l'abri, tu te souviens ? Et bien, pour les hommes c'est pareil. La graine se trouve dans le ventre de la femme, on dit l'oeuf ou ovule, retiens le mot. Tu as compris ? '' (Mmmm). Elle soupira.
''Le  pollen c'est l'homme, la graine, c'est la mère, les deux c'est le bébé et la gousse, le ventre de la mère.... Tu vois ? (Mmmmmm) ... Comment il vient? (Le vent ? Les abeilles ?) Non, pour les hommes, en général c'est la nuit, quand ils sont un peu déshabillés, au lit, assez proches, voilà. C'EST COMME POUR LE HARICOT JE TE DIS.
C'est pour ça que sous peu tu vas saigner, à coté de l'endroit par où tu fais pipi, ça s'appelle la vulve, retiens ce mot, mais pas longtemps, c'est normal, c'est une graine qui n'a pas été fécondée et tous les mois ce sera pareil.''

 Elle leva la séance, cette fois définitivement et on n'en a plus jamais parlé.  (''J'ai fait l'éducation sexuelle d'Hélène, il le fallait.")
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(Mais me baigner ensuite pas question, il me fallut des précisions... ou la mer, par chance ensuite nous habitâmes Marseille

Un jeune :- je suis le premier a le dire madame, et pour moi sexe ne va pas sans amour, cependant je tente de parler de faits, et non de ce que j'aimerais qu'il se passe : 1/ la sexualisation de la société (pub, femme en objet sexuel...) a partiellement dissocié amour et sexe dans la conscience collective 2/ un.e ado prépubère de 12 piges est plus remué.e par ses hormones en ébullition devant un.e femme/homme a poil que devant "mignonne allons voir si la rose" et je pense que ceci est intergénérationnel.

H:- Je ne crois pas, justement. ''Notre organe érotique le plus important est le cerveau'' (Freud, et sur ce coup, je souscris) enfin je pense, mais nous ne sommes pas tous faits pareil.  La question est qu'il me semble que les jeunes deviennent différents,  ce que vous décrivez tout à fait. Résultat des films soit porno soit limite, tv par exemple ? sans doute. Bizarrement j'ai l'impression que VOS SENS SONT ÉMOUSSÉS !  Julien Sorel a presqu'un orgasme lorsque il saisit la main de Mme de Rénal sous la table, et elle manque de s'evanouir tandis que de nos jours il faut bcp plus et encore... c'est comme une dose de drogue

dimanche 26 février 2017

Humour moineaux


Camions, le soir, devant les abattoirs

Et les éleveurs se suicident parce que martyriser ainsi les animaux ne leur rapporte plus que l'épuisement total,  les dettes et la ruine.
http://chantsphilo.blogspot.fr/2017/02/eleveurs-suicide.html

Une analyse marxiste de la société PN


 http://journalphilozoique.blogspot.fr/

 http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/02/pervers-narcissiques-le-dossier.html

http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/02/une-analyse-marxiste-de-la-notion-de.html. html

De mauvais goût, enculades et détournements de bien sociaux

Petit problème de Droit (et de Morale) sous forme de palinodie à la Plaute (les plaideurs) ou Boileau (le lutrin et l'art poétique ) dont mon père, comme tous les étudiants en droit, se régalait paraît-il au troquet de la fac à Dijon, du type ''voler un voleur est-ce encore voler?" etc ...

'' Les délits d'escroquerie (plus de 700 000 E) en bande organisée, recel d'argent public, fausses factures, emplois fictifs ou détournement de biens sociaux peuvent-ils être partiellement sous qualifiés en cas de sodomie du délinquant par un membre des forces de l'ordre et si oui, quelle est l'assiette du bonus auquel le délinquant peut prétendre ? 1/3 ? 2/ 3 ; 1/10 ; 100% ?'' Vous avez quatre heures.

Avec tout ce qu'on lit dans la presse actuellement, gageons qu'en cas de réponse majoritaire ''100%'', y aura la queue le lendemain au Commissariat d'Aulnay sous bois.

COUP DE FOUDRE IDÉOLOGIQUE.


 Oui, excellent article et pour moi, une découverte, un coup de foudre éidétique qui fera date ! (Curieux, car cela arrive juste après un article et un fil de discussion initié par Francine Sporenda sur le mépris, le déni, la disqualification des femmes en tant que MÈRES, qui m'avait bcp interpellée. Et un autre de 'de Wall' qui parle avec  justesse et émotion d'un certain sens MORAL chez les animaux, (idem, je l'avais observé aussi) et assure que la morale est issue, non de la prohibition de l'inceste (zut à Lévi Strauss, sexiste indécrottable, bravo de Wall) mais de l'empathie ! et que nous la partageons avec les animaux. Je l'ai toujours pensé mais  jamais osé le dire ni même me le dire à moi-même ! Les études parfois ça bloque, même de philo!) Dinc reprenons...  L'exploitation et le mépris vis à vis des femmes a commencé lorsque l'homme à découvert l'agriculture et L'ÉLEVAGE car il s'est aperçu alors qu'il pouvait chez les femelles manipuler et s'approprier leur pouvoir de produire d'autres êtres, le diriger, le forcer quitte à les exploiter, les épuiser, les torturer.. (donc pour que ça fonctionne il fallait simplement leur dénier la qualite d'être ou d'être équivalent à eux) ... puis ce pouvoir volé, ils l'ont tout naturellement étendu aux femmes, avec la même cohorte de justifications idéologiques (elles ne valaient rien ou pas grand chose) ..  il n'y avait même pas un pas, juste à se tourner !

Le marketing du veganisme

http://www.societevegane.fr/etre-vegane-quest-ce-que-ca-change/
Un site vegan qui apparaît par lien sur FB ce matin, après une note confuse, un site que je connais, sur lequel j'ai déjà surfé... avec un peu de perplexité.... et là ce n'est plus de la perplexité... 

Pas mal d'erreurs dans le lien associé à la note.
En vrac : non, l'espérance de vie n'est pas égale vegan-carniste, elle est nettement supérieure chez les vegans (pas le temps d'énumérer les maladies que nous évitons mais c'est prouvé) et non, il n'est pas dit que l'homme préhistorique était carniste, on n'en est pas certain mais il est probable qu'il était frugivore et légumivore et au départ crudivore, ce qui ne l'empêchait pas de croquer de temps en temps un cafard, un hérisson ou un louveteau blessé. Il a chassé après, lorsqu'il sut fabriquer les outils nécessaires pour tuer, mais étant donné leurs faibles performances il ne devait pas en manger tous les jours. Et tant mieux, car notre intestin est trop long, plus de 6 m (contre 1 m environ, sa simple longueur, pour un chien) et comme nous conservons les toxines (de putréfaction des produits animaux) durant toute la digestion jusqu'au bout, cad jusqu'à l'évacuation du bol fécal, et que le temps écoulé est de  6 à 8 heures pour nous et seulement de 1/2 h à 3/4 d'h pour le chien, il n'y a pas photo! À  l'instar du gorille notre cousin, nous ne sommes pas prévus pour manger, du moins régulièrement, des animaux, dont les toxines vont nous empoisonner lentement !  Donc la laborieuse démonstration prétendue nécessaire pour prouver que notre espérance de vie était égale à celle des carnistes et toutes les recommandations absconses, les protocoles compliqués auxquels nous devrions nous soumettre, notamment pour participer à des études à ce sujet (raison savoureuse pour laquelle il faudrait ne jamais manger d'oeufs,  insuffisants de toutes manières -dixit l'auteur- car ça fausserait les calculs!) sont déplacées, nous compliquent inutilement la vie ad pejorem... Pourquoi ? Je ne sais pas. Un false flag ? Is fecit cui prodest ? Les deux sont possibles.
En tout cas, lorsqu'on voit en fin d'onglet la rubrique ''boutique'' on doute, surtout lorsqu'on a lu le texte, qui assure notamment que pour couvrir nos besoins en B12 avec les oeufs, il faudrait en manger... 30/j !!  Rectificatif donc. couv

Oui, il est bon de se supplémenter, mais après qu'on soit sûr d'en avoir besoin. (Une analyse d'urine) et deux ou trois jeunes d'oeuf/ jour en cas de carence devraient suffire pour la dose de 3 nanog/j théoriquement nécessaire, et non, on ne fausse rien du tout ni ne déroge à l'éthique si on a des poules bien traitées autour de soi, comme un animal de compagnie, en consommant leurs oeufs lorsqu'elles en font.

samedi 25 février 2017

Franz de WAAL, une découverte !

https://www.scienceshumaines.com/rencontre-avec-frans-de-waal-l-empathie-des-animaux-aux-humains_fr_26655.html

Les animaux ont-ils le sens de la justice ? Oui, je l'ai toujours pensé et combien cela fait plaisir de le lire sous la plume de quelqu'un d'autre ! Roussette, (la vieille chatte de Lydie, décédée depuis peu, peu habituée à d'autres animaux) lorsque j'engueulais York, (mon jeune staff un peu fou fou mais pas méchant) qui l'embêtait un peu, manifestait une ÉVIDENTE SATISFACTION ! Elle le toisait en se léchant avec la patte derrière l'oreille et me regardait avec une amitié un peu agressive (genre, tu y as mis le temps à le calmer, le gros). OUI, LES ANIMAUX ONT LE SENS DE LA JUSTICE... ET DE L EMPATHIE. EST-CE L'ORIGINE DE LA MORALE ? JE L'AI TOUJOURS PENSÉ MAIS ÉVIDEMMENT, LES ÉTUDES DE PHILO PARADOXALEMENT NE FAVORISENT PAS L'ESPRIT ORIGINAL ET... LÉVY STRAUSS-KAHN  (TROP BEAU,  JE LAISSE!), LORENZ ETC... ME FONDAIENT À FAIRE TAIRE CETTE IDÉE EN MOI, IDÉE QUI N'ÉTAIT ALORS PAS SUR LE HAUT DE LA VAGUE ! MERCI FRANZ de WAAL.
NOTE : LORENZ AVEC SA THÉORIE DES DOMINANTS/DOMINÉS ÉTAIT UN FASCISTE, RELIÉ DIRECTEMENT AU PARTI NAZI, ET STRAUSS-KAHN (JE LAISSE !) UN SEXISTE DE PREMIÈRE !

Boutade de TRÈS mauvais goût

L'affaire du jour....

Petit problème de Droit (et de morale) sous forme de palinodie à la Plaute (les plaideurs) ou Boileau (le lutrin et l'art poétique ) dont mon père, comme tous les étudiants en droit, se régalait paraît-il au troquet de la fac à Dijon, du type ''voler un voleur est-ce encore voler?" etc ... 

'' Les délits d'escroquerie (plus de 700 000 E) en bande organisée, de recel d'argent public, fausses factures, emplois fictifs ou détournement de biens sociaux sont ils partiellement exonérés en cas de sodomie du/des délinquants par un membre des forces de l'ordre, avec ou sans objet idoine ? et si oui, quelle est l'assiette du bonus dont le délinquant peut bénéficier? 1/3 ? 2/ 3 ? 1/10 ? 100% ?'' Vous avez quatre heures.

Avec tout ce qu'on lit dans la presse actuellement, gageons qu'en cas de réponse majoritaire ''100%'', y aura la queue le lendemain au Commissariat d'Aulney sous bois.

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Un technocrate, c'est quelqu'un que quand on lui pose une question et qu'il répond, on ne comprend même plus la question qu'on a posée. 

Authentique !


Http://sosceze.blogspot.fr

vendredi 24 février 2017

Éleveur/ses suicide

http://m.20minutes.fr/rennes/2019939-20170224-bretagne-agricultrice-retrouvee-pendue-ferme-mari

Une jeune femme, éleveuse, se suicide parce qu'elle ''n'y arrivait plus''. Son mari l à retrouvée pendue dans sa laiterie à l'aube.

Image d'Épinal,  la réalité est toute autre

Horrible oui, mais cela montre à quel point la souffrance infligée aux animaux et ICI POUR RIEN OU PRESQUE RIEN et celle de l'homme qui l'inflige, ici de la femme ! concomitante, vont de pair, exactement. Le suicide de ces agriculteurs/trices en nombre effarant le montre.

Que l'on songe aussi au traumatisme de celui qui martyrise un animal ; à moins qu'il ne soit un robot ou pire, un sadique, cela NE PEUT PAS NE PAS LAISSER DE TRACES ET À TERME BOUSILLER. Les éleveurs dit-on, s'attachent à leurs animaux, cela se comprend, comment ne pas s'attacher à un veau, un agneau, un porcelet rigolo ? Qu'on songe à leur douleur aussi de devoir les tuer ou les faire tuer (et dans les conditions que l'on sait à présent) ! Lorsqu'on parle à des enfants de paysans, c'est en principe le leitmotiv CONSTANT de leur traumatisme, avoir vu tuer leur animal, TOUS les animaux, et la raison qui les a fondés à quitter la ferme, la campagne, la nature. Pour l'usine s'il faut ! Mon père, en Allemagne, en 40, prisonnier, fut affecté à une ferme, (malgré le peu de compétence pour ces travaux de l'étudiant en droit qu'il était) où il était aux petits (tout petits certes) oignons, le patron, âgé, fasciné par ce pays de cocagne qu'était pour lui la France, ne cessait de l'interroger, (il était germaniste) et même, très fier de ''son'' français, parisien de surcroît disait-il, l'amenait volontiers au village, pour faire des envieux. La nourriture était à l'avenant, chose exceptionnelle en cette période ! Un brave type que cet allemand je suppose car les services ''pro'' de papa ne devaient pas être à la hauteur de ce qu'il mangeait... mais voilà !  Il aurait pu couler une détention exceptionnelle, sans épuisement, respecté et (relativement) bien nourri, (c'est à dire comme eux), devenir un peu l'ambassadeur aimable et cultivé d'un pays qui faisait fantasmer tout ce brave monde.... s'il n'y avait eu des animaux à tuer et à cela il ne put se résoudre, si bien qu'il quitta volontairement la ferme ensoleillée et prospère où il avait sa chambre et la liberté de sortir dans le jardin pour une usine bruyante et toxique, un châlit dans une baraque d'un stalag fermée à clef près de Dachau où ils étaient nourris de rutabagas crus. Il n'était pas bouddhiste, ni végétarien, ni vraiment un héros, mais cela montre à quel point la souffrance de devoir infliger la mort ou seulement de voir tuer un animal est incommensurable. Sur ce coup, un héros, il l'a été ou l'a semblé, consentant à crever de faim, de froid (engelures) et aux coups pour ne pas SUBIR cela, lui qui mangeait avec un bon gros appétit par la suite jamais démenti et qui était un bourgeois habitué au confort.

Dans un magnifique film d'arte sur l'Anatolie (kurde) on voit des éleveurs de moutons dans la superbe et sauvage montagne du Dersim vivant (les enfants surtout) avec leur bêtes sans beaucoup de confort mais en totale osmose affective... la baignade dans l'eau qui semble bien froide... les femmes (super belles) incitant le troupeau à se baigner, j'ai eu un peu peur soudain, le visage de l'enfant peut être ? Et c'est ce que je redoutais...
L'horrible camion abattoir qui grimpe la cote de la montagne toute pelée, lourdement, et arrive soudain au campement où sèchent les bêtes  (et les femmes !) au détour d'un virage, tout à la fin...
Et là, C'EST UNE DES SCÈNES LES PLUS TERRIBLES, NON, POIGNANTES, NON... JE NE SAIS PAS LE MOT...  QUE J'AIE JAMAIS VUES.
LE PETIT BERGER ASSIS DEVANT LA PORTE, RECROQUEVILLÉ, EMBRASSE UN À UN SES AGNEAUX EN LES FIXANT LONGUEMENT DU REGARD,  TENANT LEUR JOLIE TÊTE NOIRE DANS SES MAINS, UN FIL NE PASSERAIT PAS ENTRE LES DEUX REGARDS, INTENSES, PLUS QUE CELA, CELUI DU GOSSE ET CELUI DE L'ANIMAL ACCROCHÉS L'UN À L'AUTRE, PUIS IL LES LÂCHE, LA PORTE S'OUVRE, ILS ENTENTE ET LA POETE SE FERME ETC... L'ÉCRIRE ME PERTURBE ENCORE ET J'EN RÊVE TOUT LE TEMPS...
MAIS que dire pour ce pauvre gosse contraint de vivre cela à chaque été ?
 http://journalphilozoique.blogspot.fr/2015/10/les-shawaks-danatolie-de-karim-oz-voir.html

 Pour les éleveurs ici, la seule ''justification'' est l'argent, les enfants qui font des études, la famille, l'image sociale aussi du bon type toujours aimable et généreux, respecté de tous ... Mais voilà lorsque cette image se démolit, lorsqu'on ne peut MÊMES PLUS PAYER SES TRAITES ou seulement cela, MÊME PLUS S'OFFRIR UNE JOURNEE VOIRE UNE HEURE DE REPOS SANS SOUCIS... c'est à dire lorsqu'on a conscience qu'on a plus ou moins vendu son animal AIMÉ POUR RIEN, hop, c'est le saut. Pauvres vaches, pauvres veaux, et pauvres éleveurs qui leur ont infligé cette vie d'exploitation qui est une presque mort... POUR EUX AUSSI !  ...
Qu'ont elles ressenti devant leur maîtresse en train de se pendre, ces vaches constamment gravides, constamment accouchant, et auxquelles on enlève constamment leur petit...  pour le tuer parfois devant elles ? Sont-ce leur douleur inimaginable, leur déchirure atroce qu'elles ont involontairement transmise à leur maîtresse ? elles ne peuvent se tuer,  la femme l'a fait pour elles.  Rien ne se crée, ni ne se perd, oui, à peu près disons à présent. .. MAIS CELA VAUT AUSSI POUR LES HORREURS MORALES, LES TORTURES AFFECTIVES (et physiques à la fois) !

Est-ce un hasard si ce sont les éleveurs qui parmi les agriculteurs se suicident le plus? Cioran "celui qui est capable de se tuer (pour une idée) est aussi capable de tuer" (pour rien) je cite de mémoire, c'est à dire que celui qui méprise la vie QUELLE QU'ELLE SOIT MÉPRISE AUSSI LA SIENNE ET PEUT SE L'ENLEVER AU MÊME TITRE QU'IL L'A OTÉE À D'AUTRES. 

Nicolas, de bon latin, je laisse, matin ! Le livre du ça

JOURNAL EXTIME
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''Vous ne pouvez pas entrer dans une pièce sans mettre en branle le mécanisme du refoulement, sans écarter de votre conscient mille et une perceptions de meubles, de bibelots, de couleurs, de formes ; vous ne pouvez pas lire un signe alphabétique, pas regarder une figure, écouter une conversation sans refouler, toujours et sans cesse, sans repousser des souvenirs, des phantasmes, des symboles, des affects, des phobies, des amours, du mépris, de la honte, de l’émotion ; et maintenant, chère, songez que ce qui est refoulé n’est pas détruit ; c’est là, rejeté dans un coin duquel cela ressortira un jour ; cela a peut-être été arraché à sa place afin que, n’étant plus exposé à la lumière solaire, cela ne rutile plus, mais paraisse noir. Le refoulement agit et métamorphose sans cesse les apparences ; ce qui est aujourd’hui pour l’œil une peinture de Rembrandt sera refoulé et reparaîtra à l’instant sous forme d’un jeu avec la chaîne de montre, de petits boutons aux commissures des lèvres, de dissertations sur la castration, de fondations d’État, de déclarations d’amour, de querelles, de fatigue, d’étreinte ou de tache d’encre. Refouler, c’est transformer, c’est édifier et détruire une civilisation ; c’est écrire la Bible et inventer la fable de la cigogne. Et un regard jeté sur le chaos du refoulement bouleverse la pensée au point qu’il faut fermer les yeux et se dé- pêcher d’oublier qu’il existe.''
Groddeck, Le livre du ça.
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Vouais... Leibniz l'avait dit autrement et plus concis mais moins poétique en effet (les perceptions sans aperceptions s'il m'en souvient) ... sxouvenirs finalement aussi amoureux que philosophiques, les deux se confondent, Montpellier, 66, 67 la découverte de toussa toussa, Husserl comme Yan, fac colme sexe, une émotion joyeuse et dynamisante (euh rien avoir avec dynamite... quoique... par la suite.. ) le soir en cours, venant de la Voie Domitienne jusqu'à la fac au milieu des pins illuminée... et l'amphi bien chaud, plein, l'image rassurante du Savoir et de l'Immortalité, de l'Élite à laquelle sans oser le dire ni même le formuler je me sentais appartenir... (c'était avant Mai 68 qui mit heureusement tout à plat), toujours en retard, je cherchais du regard Sylvie, Maya... et ensuite Michel... .. un trajet pas sans danger (à l'époque c'etait bois ou bosquets ou ex bosquets devenus pae endroits terrains un peu vague... d'où un mec quéquette au poing (énorme) un soir qui s'avance vers moi,... bon réflexe, 18 ans, sportive, il a lâché l'affaire sans insister mais après toujours armée ... Oui, ''Le livre du ça'', quel titre ! On a pensé qu'il s'agissait de cil,euh de cul ! tout emoustillé... ''Les méditations cartésiennes'', Spartacus (la revue), "Tout" ensuite (dont l'exergue était "nous voulons tout tout de suite" ! ) etc... un bonheur ! Ma madeleine. ..  Merci de me l'avoir rappelée en ce matin frisquet (quoique 14 degrés dans la salle c'est Byzance ) à 4 heures du mat , mon heure habituelle, où je me suis réveillée comme svt avec des images... passons ... merci L214 mais bon...
Montpellier !  Puis la Sorbonne...  Partisan (la revue)... Sartre, et surtout le Castor... J'ai eu bcp de chance en fait. Ils sont morts certes comme Margueritte et Lydie et sans doute de Walhens mais... Ta gueule ma fille et refais toi du café. Et ouvre à Charlie qui a fini de pipicacater et se les gèle sur le balcon.

Suite 2 fil Sporenda, mères. La génération panini en quelques mots, enfance

Article base : "http://chantsphilo.blogspot.fr/2017/02/meres-toxiques-histoire-de-freuderies.html

Marie :
 Je n 'ai jamais été une militante féministe au sens propre du terme, je suis devenue féministe au ras des pâquerettes, au fil de ma vie de jeune mariée croulant sous les injonctions et les interdits. En Mai 68, j' ai découvert que je n'étais pas la seule à me rebeller et j 'y ai trouvé la légitimation de mon malaise. Je n' ai pas pu avoir d'enfant, je ne nê suis pas posé la question de savoir si mon désir était légitime ou pas, il était là. J'ai rencontré à l' âge de 40 ans l 'homme qui a voulu être père avec moi . Comme je ne sais rien faire avec mesure, nous avons adopté une fratrie de 4 enfants au Brésil, et même si ça n' a pas été tous les jours facile, je suis vraiment heureuse d'avoir ces enfants, devenus grands maintenant. Je ne sais pas si j' ai été une bonne mère, j'ai souvent été considérée comme une mère d'occasion . Tout ce que je sais, c'est que j' ai fait ce que je pouvais. Un jour où j' ai dit à mon ainé que je n' avais pas été la mère que j' aurais voulu être, il m 'a répondu : "oui, mais tu avais à faire  de sacrés loulous". Et il a ajouté qu'il était heureux d'avoir été adopté. Je me rends compte en vous lisant quels sont les problèmes que les féministes "pur sucre" ont pu se poser. Je  crois que j' ai eu la chance de ne pas être une théoricienne et d'avoir toujours réagi plus avec mes tripes que mpon cerveau.

H : - En effet c'est une chance que d'avoir conservé une sorte de sagacité intellectuelle, par rapport à ceux pollués par une doxa (plus ou moins.) L'engagement est  plus direct et plus efficace surtout. Il reste tout de même que dans mon cas, il a été guérisseur d'un énorme malaise et ça je ne le renie pas, les amitiés avec des ténores du féminisme qui nous ont portées, élevées, ont généré à la fois la guérison et la responsabilité qui va avec  (nous devions mériter d'être, et du coup servir, ne pas nous écouter, nous comporter minables, être nickel etc) ... modèle Simone évidemment entre autres...

Mais du coup les simples constats de valeurs ÉVIDENTES, À CREVER LES YEUX, NOS VALEURS POURTANT, paradoxalement étaient occultés (on était pour bcp philosophes pourtant!) Exemple, ces valeurs dont vous parlez, dont parlent les américaines,  Sporenda etc... ces valeurs féminines, maternelles, de douceur, d'empathie, de nursing etc... étaient pour nous des non valeurs, des leurres, des muleta agitées devant nous pour nous occuper et nous détruire comme on fatigue le toro avant l'estocade, le signe d'une féminitude exploitée que nous refusions. (Outre qu'elles étaient aussi éminemment catho ou religieuses en général.) Du coup ce sont nos enfants qui en ont bavé. Enfants sans mères en un sens.

Le cas chez moi s'atténue et se complique parce que, dans la génération de l'après guerre, (48), et en pays cévenol pauvre, les enfants étaient élevés assez durement, voir ''Les lettres à Lydie'', par des parents souvent traumatisés, parfois culpabilisés d'avoir imprévisiblement survécu, (jusqu'à la maladie psychique). De plus en pays minier par une mère instit, hussarde noire de la République comme on disait, bref, je cumulais !
De fait, et c'est là peut-être où malgré tout j'ai tiré mon épingle du jeu, quoique. .. mon principe était que je ne  voulais à aucun prix que mes enfants vivent ce que j'avais vécu, non que ç'ait été l'enfer certes, surtout en pays minier paradoxalement où je fus heureuse, relativement !  mais tout de même, la grande pauvreté, eût elle été factuelle (mes grand parents n'étaient pas du tout pauvres) et quasi volontaire de la part de Lydie, (la militance, servir le peuple, être à proximité physique,  culturelle etc...) m'avait marquée. J'ai eu l'impression d'une enfance sacrifiée, déniée, il fallait être adulte,  vite, tout de suite. Jamais de câlins, de félicitations etc... c'est pourquoi je dis que nous sommes la génération panini, durement formés dans l'enfance, durement traités aussi (les coups nous semblaient normaux), apparemment peu estimés....

Ensuite, avec quelle ferveur nous devînmes parents d'enfants élevés à l'opposé, jouets, fringues, livres, éducation disons modèle ou que nous pensions telle (même si c'est plus compliqué) ultra gâtés etc... Restait tout de même la contradiction, notre refus des codes de la maternité  (valeurs suspectes pour nous, et elles le sont parfois incontestablement, exemple les prix aux mères de famille nombreuses institués par Pétrin) qui ont certainement traumatisé nos enfants... plus que les coups ? Je ne crois pas. Mais qui sait? Ce qui finalement aboutit souvent, lorsqu'ils deviennent adultes et installés, à une mise à distance voire à un méjugement des mères. (Au départ on a parfois ''tu as été une mère super, formidable malgré toutes nos galères etc..'' .... et ensuite cela s'infléchit vers l'opposé ''quelle mauvaise mère tu as été finalement etc'' ...  Il est vrai qu'il y a parfois d'autres causes à ces propos chaque cas est différent).

Disons pour simplifier que, élevés durement par des parents qu'il n'y a pas lieu de critiquer vraiment car ils avaient connu l'horreur, (et puis, pour ce qui me concerne, j'ai eu une grand mère formidable qui fut plutôt une mère ) nous avons été un peu chanfreinés si ce n'est détraqués....  et avons élevés ou voulu élever nos enfants en opposition complète, (pour ce qui me concerne) en pseudo bourgeois, gâtés mais insécurisés par une certaine bohème à la fois... scupuleusement choyés (le nombre de livres que je me suis cognée sur l'éducation est incalculable) et délaissés à la fois...

Une fois adulte, ils nous l'ont reproché (une litote) et, malgré ce qu'on pense avoir fait pour eux (matériellement, financièrement...) se sont  éloignés de nous (des mères je veux dire !) avec à la clef ce qui ressemble fort à une certaine mésestime ou quasi indifférence. Et c'est là où je vous rejoins toutes, la rupture du lien mère enfant est à la clef, effectivement du système patriarcal car erroder la maternité en nous c'est taper justement sur ce qui est le plus important, ce qui nous fonde à tenir le monde... Mais de cela, les femmes de ma génération ou de celle d'avant, comme Simone, en sont aussi responsable car ce sont elles en premier qui ont mis ces valeurs aux gémonies. Une fois qu'on s'est acquittées de notre tâche bien sûr, on découvre combien on a péché... exact... ou on nous le fait découvrir et le constat est là : on a PERDU NOS ENFANTS.

Les statistiques sont inquiétantes, la majorité des femmes de plus de 60 ans vivent seules et souvent sans le moindre soutien familial y compris et SURTOUT en cas de maladie ou handicap. Des femmes qui ont été des mères parfois de famille nombreuses, tout a fait honorables voire excellentes ! Des bourgeoises et des prolotes. Sur des forums, c'est poignant, elles ne se plaignent jamais ("mes enfants ? ... Oui mais ils ont tous leur vie et une belle carrière, ils sont très pris, et puis ils sont loin et je ne vais pas les embêter avec ça" dit par exemple une dame de 73 ans atteinte de SEP ! Dont le fils est médecin ! Et qui a passé, on le comprend au cours du fil, UNE JOURNEE entière nue sous sa douche, ayant glissé et ne pouvant se relever, en attendant son aide qui n'est arrivée qu'à 7 heures ! ) Oui, génération panini !
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Dominique :- Bonne analyse du modèle patriarco-macho-capitaliste qui dans sa morbidité compétitive intrinsèque fait tout pour détourner garçons ET filles des liens maternels naturels, force vitale de paix et d'harmonie 'gratuite', intolérable dans ce monde du tout marchand dont les boutiques sont tenues par des hommes, ou des femmes volontairement asservies au modèle masculin...

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H : - Oui.  il est vrai que l'entraide, la solidarité, la famille lorsqu'elle fonctionne bien, tout ça ne fait pas le jeu du système qui ne vit que de l'isolement et de la détresse des gens, surtout fragiles,  vieux, femmes, malades. ..

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La question gênante
N: - Parce que ça fait le jeu du patriarcat, est-ce une raison de taire le problème ? Taire des sujets parce que ça fait le jeu de tel ou tel c'est ce qui gangrène notre société, et ça ne rend service à personne et certainement pas aux victimes : les enfants !

H:- oui, le coup du stalinisme il ne faut rien dire car ça fait le jeu de la propagande bourgeoise etc ....  bon, j'ai connu et là tu as raison...
Mais ici, il y a des cas et ton procès est injuste, par exemple, j'ai été une des premières à condamner (virtuellement ) la dame à la machine à laver...  puis l'autre grosse idem, etc... Mais il y a des constantes (mesurables)  tout de même qu'on ne peut rater :  les femmes qui sont systématiquement dépouillées âgées ou malades, oui, de bonne mères pourtant, je connais deux cas assez proches, et de famille nombreuses pour l'une ; des enfants qui systématiquement une fois adultes et dotés, rompent totalement avec leur mère je n'ai plus les chiffres mais ils sont accablants. Et non, ce ne sont pas de mauvaises mère, c'est juste le système qui n'a plus besoin d'elles et même qu'elles dérangent* et hop poubelle, et oui, les enfants font aussi ce jeu, ô sans s'en rendre compte peut etre, pas ouvertement, mais il y a toujours de bonnes raisons de laisser tomber celle  qui la plupart du temps ne réclame même pas, carrière,  loisirs, enfants,  amis, compagne ou compagnon, vie mondaine, fatigue etc...
*Certains hommes, jeunes, ou non, n'aiment guère se souvenir du temps où ils étaient des petits garçons portés même à 18 ans à bout de bras par une maman qui trouvait toujours le temps pour les problèmes de maths,  la dissert de philo, le prof à circonvenir pour le livret etc... aider quelqu'un,  parfois, c'est s'en faire un ennemi.

LE DOSSIER AVEC L'ARTICLE DE SALMONA
Http://chantsphilo.blogspot.fr/2017/03/les-panini-generation-apres-48-sont-ils.html

Suite du fil FB Sporenda sur la maternité



Dossier
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Article-base
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 Juste une observation, mais qui vaut un article à elle seule car elle est préoccupante : autrefois les militantes féministes dures dont je fus refusaient la glorification de ''la'' femme comme mère, être mère, c'était nourrir le système, faire des mecs, des machos qui allaient nous exploiter et/ou souvent de la chair à canon... et être louée pour avoir pondu, c'était limite pétiniste et humiliant... Ma mère, qui aurait juste 100 ans, était très réticente à la fête des mères, comme je le fus, mais en pire, (bien que mes enfants me l'aient souhaitée tout de même.)

Or on voit ici de jeunes féministes inspirées des américaines ! qui vont à contre courant de nous ... et à juste titre au fond, car refuser la maternité ou seulement la gloire qui y est hypocritement associée par le système fait aussi le jeu du système ! ce qu'il fallait faire, et que nous n'avons pas su faire, du moins les irrédentes comme moi, c'était se la réapproprier, pour nous. Et accepter la charge (de toutes manières on n'avait pas le choix une fois décidées à avoir des enfants) et LES HONNEURS AVEC, mérités. C'est en vous lisant que j'ai compris et réalisé que, comme beaucoup de femmes de ma génération, féministes hard, je n'ai pas su être une bonne mère c'est à dire PAS UNE MÈRE DU TOUT, le système auquel je m'opposais sans discernement avait réussi à me faire honte de l'être  ! D'un extrême à l'autre, voulant être respectée en tant qu'être et non pondeuse, j'ai eu honte d'être pondeuse et du coup, refusé d'être vraiment ''mère'', c'est à dire les valeurs RÉELLES miennes comme celles de toutes les femmes (mères ou non.) Cela, nous le devons.... un peu, (j'ai l'impression de la trahir) au Castor. Désolée Simone. Et ma foi, les américaines, dont nous nous moutons oh! moquions parfois, psychorigides que nous étions, n'avaient pas tort. Zut.

LE DOSSIER AVEC L'ARTICLE DE SALMONA


Itinéraire d'une famille, du carniste au véganisme

Un fil sur FB. Noushka Tsuko recommande de ne pas donner de ''viande'' c'est à dire d'animaux tués aux enfants y compris s'ils réclament, après leur avoir expliqué longuement ce que cela représentait.

H - Oui, je suis d'accord mais chez ''moi'' ça s'est fait tout seul. Boen avant que je ne le sois moi-même, ma fille est devenue végétarienne D'ELLE-MÊME et j'en suis plus fière que de son doctorat de philo ! Et tôt, à 4 ans environ, lorsqu'elle a compris (elle a posé la question et on lui a répondu évidemment) ce qu'était vraiment la ''viande'', donc depuis l'âge de 3 ou 4 ans, c'est une rapide de comprenette, plus de ''viande''... Pour le poisson ça a encore pris un peu plus de temps (carré pané, on ne se rend pas compte) puis à nouveau la question, et fini, plus de poisson. A l'époque nous n'étions pas vegan, même si perso je n'aimais pas (idéologique ment, je laisse ! ) en manger mais je croyais que c'était utile voire quasi indispensable (ma mère le disait, mais assurait-elle en très petite quantité -le régime méditerranéen avait toujours été le sien et celui de Marguerite etc... -)

Je suis devenue vegan bien longtemps après ma fille donc, en deux temps, d'abord végétarienne il y a 35 ans, (j'avais 33 ans) après avoir vu les abattoirs de Nimes, puis vegan (quasiment) depuis un an (et fini : 1 la mastose qui m'embêtait, et 2 : les clops, sans efforts, juste un détail.) Récemment, c'est quasi vegan, un oeuf ou deux, car je manque de B12 et fais trop d'efforts physiques, je vais acheter deux poules car ça me culpabilise trop, mais d'un autre côté j'ai épuisé mes réserves de B12 et la consoude ne suffit pas.. et j'ai 67 ans !

Mon ex, lui, a attendu... très longtemps !  c'est à dire il y a peu (66 ou 67 ans, c'était il y a deux ans) pour devenir végétarien, à ma demande ultra insistante [il avait un peu de tension, d'où Bêta bloquants (ordonnés par une cardiologue qui, lorsqu'il lui avait parlé de devenir végétarien, lui avait rétorqué que ça ne servait à rien, une salope ou une idiote ou les deux car des notifications ont été faites partout, donc aussi et en premier évidemment, du moins je le suppose, aux médecins ! surtout cardiologues ! à ce sujet-) ] ... d'où la cascade infernale  =  problèmes psy et physiologiques (sur lesquels je ne m'étendrai pas, les mecs de plus de 50-60 ans comprendront, embêtants lorsqu'on a une compagne beaucoup plus jeune et en pleine forme) ... = d'où antidépresseurs probablement... = d'où problèmes de foie et surtout de mémoire, il devenait gâteux et agressif .. etc... la spirale infinie.

Lorsqu'il s'est ENFIN décidé, ça a marché : plus de tension, plus de B bloquant, plus de batterie ! JE LAISSE, plus de blocage etc...  mais il demeure mangeur de fromage, pour l'instant. Je ne désespère pas qu'il cesse, de sales angines récurrentes devraient l'y inciter mais bon... Donc le végétarisme - véganisme dans cette famille comme dans beaucoup, inconstant mais, pour ce qui est de notre leadere, très ancien, est relié à deux causes, l'animalisme simple (ma fille, moi) et l'égoïsme tout simple aussi enfin,  le souci de sa santé (mon ex et sans doute bientôt mon fils qui reste encore carniste mais tout de même s'est modéré nettement.

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Une carniste excitée : - Complètement irresponsable et ça peut mettre en péril la santé des enfants. Il y a eu des retraits faits par les services sociaux pour malnutrition.

- Non tu ne sais pas, Fabienne, du moins tout, les enfants ''retiré s'' comme tu dis étaient issus de familles genre secte exemple crudivore anti céréales stricts voire (ce n'est pas pareil !) instinctivores  (pas hon le truc) ou toutes sortes de délires parfois intéressants à condition de ne pas en faire une doxa fana. Et en fort mauvaise santé.  Ma fille est belle, et intellectuellement bien au point voire top. Reste la B12 c'est le seul point où je te rejoins . Algues ? Pas sûr.  Spiruline ? On sait que c'est faux ou contreversé. Consoude ? Oui ms il y a l'acide oxalique en prime, remarque il y en a autant ds les épinards ou le  chocolat et personne n'en parle, ce qui me laisse à penser qu'il y a peut-être des conflits d'intérêt la dessous... il y a les pilules de suppléments en pharmacie, ou la solution que j'ai adoptée,  un oeuf de temps en temps (j'ai une activité physique impt). Et tout baigne.

Il faut juste se renseigner, exemple, céréales + légumineuses constituent une association  fondamentale intéressante que l'on trouve dans toutes les cultures (riz et lentilles en Égypte,  couscous et pois chiches ds le Magreb, haricots rouges et maïs en Amérique latine etc...) et bien choisir ses légumes et fruits, amandes, noix, pruneaux, bananes, pommes de terre ou mieux, patates douces, avocat, aïl, orties, plantain, chicorée, géranium sauvage, topinambours  etc...  et les huiles végétales associées : olive, colza, en respectant les proportions d'oméga 3 / oméga 6 (1/4:3/4 en faveur des 6).

jeudi 23 février 2017

Images en vrac, camions, abattoir, Alès la nuit, mal de dos, être femme, c'est avoir le choix entre...

Voir message plus anciens, la mort de Tess


Idem, Tess est au centre

Voir message plus ancien, mal de dos en vrac


Mères toxiques, histoire de freuderies

Lydie et moi, voir en fin de page
Mères dites toxiques.
A partir d'un article de Francine Sporenda

On le sait pourtant, dans les statistiques, la maltraitance des pères, déjà incommensurable par rapport à celle des mères, EXPLOSE. Par ailleurs, les grands pervers historiquement sont tous des hommes. Alors ? C'est quoi ce bordel ?
L'offensive actuelle contre les droits des femmes va de pair avec une offensive contre les mères qui la sous tend. Exemple, il y a pléthore d'émissions sur les "mères toxiques"... et peu sur les "pères toxiques", incestueux, ou meurtriers de leurs enfants, bcp plus fréquents." Une mode ? Non,

Cette haine patriarcale classique contre les mères est cruciale, il faut qu'elles soient discréditées, ainsi que les valeurs RÉELLES dont elles sont porteuses (fabrication d'enfants, accouchement, élevage, allaitement, protection, éducation, soins... et travail! elles sont les piliers de la famille DONC DES MALES DONC DE LA SOCIÉTÉ et ça, ça peut être humiliant). Il faut donc cracher dans la soupe, si possible lorsqu'on est rassasié. Il est donc essentiel de leur dénier ce statut de cariatides (si possible après qu'elles aient plus ou moins achevé le job, vers 60 ans ou plus tard), essentiel aussi que leur lien avec leurs enfants soit cassé, QU'ILS LA MÉPRISENT UN PEU afin que ceux-ci puissent la trahir en tant que femme et mère et rejoindre le camp du pouvoir, des mâles, DES WINNERS. Les enfants jouent ici le rôle d'électorat de bascule, et dans un couple de 50 -60 ans où la femme, libérée des tâches reliées à sa féminitude, joue presqu'à partie égale voire supérieure avec le mec, ce n'est pas négligeable. Il est donc vital de les attirer du côté des pères, selon les normes auxquelles ils sont assignés, mais qui varient (s'assouplissent) selon les milieux : grosso modo, on avait : soumission aux hommes pour les filles et domination, violence, et compétition pour les garçons ... mais ici, on voit en oeuvre un phénomène curieux, rarement analysé car MASQUÉ, dans les milieux libertaires, égalitaires, plus ou moins, les filles vont se comporter comme les garçons et parfois en pire car elles ont plus qu'eux à prouver, malgré tout. De plus en plus de jeunes femmes issues de ces milieux (universitaires, cultivés, militants..)  vont agir comme des garçons, ce qui veut dire qu'elles se sont affranchies des normes débilitantes, (bien) mais cet affranchissement s'effectue le plus souvent au détriment de la mère (et c'est là que l'on peut parler de trahison). Les pères, dans ces milieux, conscients de leur insuffisance peut être ? vont souvent prioriser leurs filles, (notamment au moment de la répartition des biens, des cadeaux) meilleures et plus faciles recrues contre la mère, et celles-ci accepteront plus facilement le deal que les garçons, plus attachés à la maman, plus difficiles à décrocher.

Mais de toutes manières, il demeure que dans leur propre intérêt, s'ils veulent devenir des ''hommes" C'EST À DIRE DES ''WINNERS'' TOUS SEXES CONFONDUS, les enfants doivent trahir leur mère, renier les valeurs qu'elle incarne et dont ils se sont nourris pour être dans le sens de la marée et on sait qu'une jeune femme ambitieuse de nos jours vaut largement un jeune homme.

Pour renforcer l'autorité paternelle, le père doit être présenté comme un meilleur protecteur pour les enfants parce qu'il a plus de poids social et économique (les enfants sont souvent confiés par les tribunaux au parent le plus aisé); tandis que les mères doivent être vues comme étouffantes, névrosées, toxiques, sans importance et sans pouvoir. (Il se peut qu'elles le soient, mais qu'elles le soient DEVENUES, suite à la lutte épuisante qu'elles ont dû mener à contre courant, même couronnée de succès, mais toujours à leur détriment et sans reconnaissance au sens littéral de ceux pour lesquels elles se sont éreintées.)

Non seulement il s'agit d'affaiblir le lien spécial que les mères ont avec les enfants parce qu'il entre en conflit envers le système qu'il ébranle et contredit, mais il faut aussi disqualifier, se moquer du type de rapports bienveillants, empathiques et protecteurs sur lesquels fonctionne normalement le lien maternel (culcul, idiote, bécasse etc...)

Ces valeurs maternelles dévoilent que :  1 les femmes TIENNENT TOUT L'ÉDIFICE ce qui est gênant pour le virisme ;  2 que si notre société est inhumaine, c'est parce qu'elle ne sont pas reconnues comme telles et que les femmes doivent, elles, les faire reconnaître y compris à leur détriment et 3 qu'un autre type de société est possible et INDISPENSABLE (cf les pays nordiques). Une baffe évidemment dans la gueule des mecs.

La psychanalyse (par essence patriarcale) qui pose que les pères sont indispensables pour séparer les enfants de la mère a bien raison, (ô candeur de freuderies) mais c'est précisément pour que le système patriarcal perdure ! Système dans lequel le rôle des mères est forcément de protéger les enfants de l'emprise de l'idéologie patriarcale, ce qu'elles font souvent, et toujours à leur détriment, trahies ensuite de toutes parts car le système ébranlé, comme un poussah en bascule, tend à se rétablir. LES FEMMES SONT LES SACRIFIÉES D'UN SYSTÈME QUI TOURNE À LA FOLIE.

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Le fil
David : - Et pourtant ça existe bel et biens. Mère toxique, mère de mon fils toxique, compagne toxique. J'ai arrêté la collection il y as 4 ans. ouff...  Mais je comprend ce que tu veux dire. Sans doute que les hommes vont recevoir le nom de pervers narcissique violent etc. tandis qu'une femme sera traitée de toxique. Pourquoi??? Parce qu'on utilise plus les mots comme on le devrait. Juste pour arrondir les angles...

H: - Oui, mais le vocabulaire est aussi une question de pouvoir, de société, on dit d'un homme qu'il est pervers parce qu'il est censé être fort, un chef, protecteur (relativement,) et d'une femme qu'elle est folle ou toxique (un objet ingérée est toxiques pas un être humain) parce que finalement on est toujours un peu des caniches, rien d'autre. Pervers serait trop honorable, on ne le mérite pas.

Suite, la maternité, le refus par féminisme, génération mauvaises mères ET panini à la fois ! http://chantsphilo.blogspot.fr/2017/02/suite-du-fil-fb-sporenda-sur-la.html 

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Image, Lydie et moi, à sa gauche. Pardon de t'avoir méjugée. Voir ''Les lettres à Lydie".
J'ai eu une mère qui semblait toxique et qui l'était un peu alors que c'était mon père qui l'était mais en sous main, mon père que tous et surtout toutes admiraient pour sa patience envers une ''folle''.  Et qui se foutait de moi comme de sa première vérole , ma mère au moins m'aimait, fût ce de manière intermittente,  quand il lui en laissait le temps et l'énergie car elle assumait presque tout.

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Le mot de la fin
 le  dossier
Http://chantsphilo.blogspot.fr/2017/03/les-panini-generation-apres-48-sont-ils.html

Article associé //chantsphilo.blogspot.fr/2017/04/un-fil-sur-fb-helene-helene.html

Olga Bancic, toujours oubliée de l'affiche rouge

http://femmesavenir.blogspot.fr/2013/04/le-groupe-manouchian-et-olga-bancic.html



La mort de Tess, un fil sur FB

Tess... tout de même sa mort, naturelle malgré la maladie, à 17 ans, et elle avait été maltraitée 13 ans, toujours enchaînée, nourrie quand ils y pensaient, pas soignée (et en vacances -pour eux- un seau d'eau et de croquettes pour un mois et barka, c'est du reste ainsi que je l'ai adoptée) .. sa mort je j'avoue a été une délivrance. J'étais allée préparer le repas des deux autres, il était minuit, je l'avais installée dans un renfoncement abrité devant la porte (une ''niche'' bien ensoleillée) à l'extérieur, mais de la porte fenêtre on peut voir et entendre, elle était mourante, odeur insupportable même pour elle, je l'avais laissée  juste le temps de filer la graille aux autres quand soudain j'ai entendu comme un cri de désespoir vibrant dans la montagne, répercuté, un ou des ? hurlements de loups qui se renvoyaient la com, avec l'écho, et sur plusieurs tons, du très grave au suraigu mélangés, c'était impressionnant... on aurait dit une meute, et, sans que je ne me le formule à moi même, comme redevenue ou devenue naturellement un loup ou un animal susceptible de communiquer avec eux, je suis sortie, sachant avec certitude ce qui venait d'advenir. La vieille bergère allemande croisée d'on ne sait quoi, d'un loup sans doute, venait juste de mourir après une agonie non douloureuse (j'y ai veillé) de toute la journée. Les chiens se renvoyèrent la triste nouvelle de montagne en montagne, des cris lugubres bouleversants pendant une heure et encore sûrement plus puisqu'ils ont été entendus jusqu'à 8 km... et le lendemain à la même heure, idem. Le plus curieux est que les deux ''miens'', le premier soir, n'ont rien dit, préoccupés par  la graille qui ne venait pas, c'est juste le second jour qu'un a fait un petit essai, pour la forme, de hurlement museau en l'air.

Yves : - Elle est morte de sa "belle mort" et c'est bien ainsi. Mais que disent donc les autres chiens en aboyants ainsi ? "Au revoir" ? "Bon voyage" ? "On t'aimait" ? va savoir... ce qui est certain, c'est qu'ils sont doués de bien plus que de la sensibilité. Je n'ose penser à ce que les animaux échangent de douleur, de désespoir, de souffrance quand ils sont pris dans les tueries de masse des abattoirs ou ailleurs... Le monde des "hommes" est l'enfer des animaux. Et aussi d'autres hommes... :(

Hélène : j'y ai pensé aussi et moquez vous, tant pis, ms un bref moment j'étais littéralement en phase avec eux, sur ce qu'ils disaient, SE disaient et ME disaient, tout naturellement d'ailleurs, c'était comme si toute ma vie j'avais dialogué avec des loups, c'était étrange et par la suite ça s'est en partie (une faible partie mais suffisante pour me conduire à la dépression) maintenu. Là ils disaient leur désespoir en effet, leur tristesse devant ce qu'elle avait subi et que certains d'entre eux subissaient aussi (bcp gardent des terrains, des maisons, des poulaillers géants, et st nourris tous les 2 j vite fait par un garde qui en ''fait'' plein, sans aucune affection, on les laisse seuls depuis leur arrivée à 6-7 mois en remplacement d'un autre qui sera tué lorsqu'il aura plus ou moins appris le métier au jeune, afin qu'ils restent ''sauvages' et si possible agressifs (comme Tess qui en prime était attachée avec une chaîne tellement lourde et qui avait rouillé que j'ai mis une heure à parvenir, outillée costaud, à la libérer ! Elle s'est laissée faire sans broncher, consciente que son supplice était fini, ça, c'est sûr, et j'avais un argument fort, l'énorme bassine de pâtée que je lui réservais tous les soirs depuis que j'avais compris que ses maîtres l'avaient abandonnée. Elle était très intelligente, et lorsque ceux-ci ont voulu la récupérer (!!) elle leur a grondé après ... ce qui a résolu définitivement la question, j'avais aussi un argument fort, je peux cogner s'il faut en cas de nécessité absolue, mais disons que les grondements de Tess m'ont  appuyée radicalement sans nécessité d'aller au delà. Je pense qu'elle ''suivait'' plus ou moins la conversation qui allait décider de son sort et avait compris comment peser de tout son poids de chien).
 Difficile à traduire avec les mots, c'était un chant étrange, non pas d'eux seulement mais comme venu du fond des âges, je dirais de la nature elle même, un chant de douleur et d'abandon, pathétique et réconfortant à la fois, je dirais aussi de solidarité, de sympathie au sens littéral du mot..  Le lendemain, c’était plus apaisé, peut être par moi qui ai participé au ''dialogue'' à ma manière, télépathique, je me suis concentrée pour leur dire ''c'est mieux ainsi, elle se décomposait littéralement vivante et je n'y pouvais rien -mais grâce aux médocs elle ne souffrait pas, elle est partie doucement et comme vous l'avez su (?) j'étais avec elle, moi aussi je suis malheureuse.''
Ils ont encore hurlé pendant deux ou trois ? jours, plus peut-être, vers minuit, c'était, cette fois, différent, comme lorsqu'on se recueille sur une tombe, une minute de silence à l'envers...  je n'ai jamais su qui étaient ces chiens, la montagne modifie les sons et leur provenance. Je n'en ai identifié qu'un, celui de mon voisin le plus  proche (enfin, 500 m) qui la connaissait, le seul, car je la faisais marcher tous les jours pour éviter qu'elle se paralyse et ça, ça marchait super, ça vaut pour tous, plus de fuites urinaires très vite. Mais il a fallu au départ la forcer un peu.

Quant à ce que les animaux se transmettent dans les abattoirs ou alentours, c'est étrange que tu en parles car cela aussi on peut le deviner ou le SAVOIR, plus ou moins, ii se trouve que je passais tous les jours devant les abattoirs d'Alès le soir, pour rentrer chez moi, à 20 km, et l'angoisse était prégnante, (bien avant le film de L214) à pleurer chaque fois, surtout lorsqu'on rencontrait ces camions venu de Pologne, ça a fini en dépression et je suis partie, je ne pouvais plus supporter. Bizarre je suis ? Et bien non, pas tant que ça.

Car il est un détail que tu peux vérifier et qui a tout de même interpellé les Ponts et chaussées, le pourcentage incroyable d'accidents et d'accidents MORTELS juste au virage, pas trop inquiétant en soi pourtant, que j'attribue clairement à l'émotion, à l'écoute pas forcément tout a fait CONSCIENTE, au ressenti flou, poignant, ou évident, des tortures des animaux qui nous appellent au secours, ces horreurs cachées qui hurlent des murs éclairés en haut, signe qu'on est en train de tuer à un jet de pierre de la route, à la peur pour les avertis de savoir ou ne pas savoir CE QU'ON ALLAIT TROUVER DEVANT SOI après le virage, sur le terre plein, (les camions) la nuit surtout, j'ai fait des photos, impressionnantes, un thriller, elles sont dans mon téléphone et dès que je peux je les envoie mais elles doivent être dans :
http://journalphilozoique.blogspot.fr



Mais à plusieurs reprises, ce virage, moi aussi, bien que le connaissant, j'ai FAILLI LE RATER, non, en fait je l'ai raté, je me suis retrouvée de l'autre coté de la route, par chance mais seulement par chance, il n'y avait personne qui venait en face sinon je l'encadrais...  et pourtant je ne suis pas une casse gueule en bagnole. Un sens interdit sur une des voies, fort étroite, a été posé on verra si ça change quelque chose mais je ne le pense pas.

J'ouvre FB et je m'emerveille

http://chantsphilo.blogspot.fr/2017/02/inflation-de-pervers-il-y-en-marre.html


 J'ouvre FB, les réseaux sociaux etc... et je m'émerveille de la bonté de tous ces gens qui s'y agitent sans relâche, de leur sagacité, de leur générosité, de leur écologisme anti alcool et anti viande, de leur empathie y compris vis à vis des animaux et de toutes ces pétitions qu'on me propose, (juste ça m'embête qu'après que j'aie signé pour l'ourse Wanda qui va mettre bas dans un camping sans couvertures propres, on me demande 10 Euros pour les laver ou autre. .. mais baste célavie)...  je compatis surtout devant ceux et surtout celles aux prises avec des dits pervers dits narcissiques dits monstraffreux,  mécoment peutonêtresiméchant etc...

Puis je mets le nez dehors et je vois autour de moi des gens qui (en nombre), attablés devant des cotes d'agneau, piccolent sans vergogne, indifférents au SDF devant la gare qui dort sous une tente, ou seulement soucieux -après une catastrophe- de leur bagnole sans souci d'une voisine coincée dans sa cour etc... 

Et je me dis que FB et la plupart des réseaux sociaux doivent disposer d'un filtre magique qui de fait interdit tout accès à des méchants, des carnistes, racistes, spécistes etc..  et d'un tamis également magique qui leur permet de distinguer et de séparer les genscomenous, c'est à dire bonzégénéreux et lézotres. .. et, mieux, p
armi cette catégorie déjà suspecte, les dits pervers dits narcissiques dits tout ce qu'on veut... et le bazar des NORMAUX, je ne veux pas dire vouzémoi tout de même (la crème) mais disons...  mon voisin d'en face (celui d'en haut, je m'en méfie un peu, d'ailleurs il n'est pas sur FB) ...

Je m'étonne aussi que Untel (que je connais) fasse passer tant de com parfaits vilipendant l'indifférence de tous devant la misère humaine ou les aléas dramatiques de l'existence,
qu'un peu de solidarité, d'attentions, pourraient tout changer etc etc.. quand je ne l'ai jamais vu manifester d'empathie particulière pour une victime même à la suite d'un quasi drame qui miraculeusement à été évité (mais pas grâce à lui)... et de ne rien voir en fait d'articles sur ce coup de la part de gens qui eux se sont bien comportés. (C'est naturel, oui en effet et justement le fait d'insister sur le devoir moral de se soucier de l'autre est suspect.) Si bien que je me demande : 1 : si ces réseaux ne fonctionnent pas comme une sorte de tremplin contre phobique qui libère de l'angoisse en permettant d'offrir de soi une image tolérable et (dans le cas cité) à l'opposé de la réalité...  et 2 : si ces réseaux ne mettent pas en scène (et en relation) des gens réels et des algorithmes (des personnages inventés... par la machine) après qu'ils se soient dessinés selon un schémas à déterminer, secret et sans doute breveté (mots clés, corrélations imprévues etc) ... tout se passant comme si FB avait mitonné pour chacun de ses utilisateurs (ou seulement pour quelques tranches'' d'humain corrélés, mettons age, engagement, sexe etc) un univers non seulement virtuel mais fictif susceptible de lui plaire et l'y enfermer. Afin qu'il se tienne tranquille...  dès fois qu'il trouverait injuste sa misère et, mettons, les 500 000 E à rien foutre de la mère Fillon...  et envisagerait une révolte vraie (après les mots.) Idiot ? Peut être pas.

mercredi 22 février 2017

Inflation de pervers, il y en a marre

Oui, il y en a marre des dits pervers dits narcissiques, dits monstres à deux têtes, dits ''moi je pas comme ça'' ou ''vousnonplujesuissure'' et ''mais eux si''....  bref ''cétaffreuxcekonvit quandonétrobon'' pour finir (ou pour commencer car ca peut tournerr!) par commentpeutonetresiméchant ?
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Vous avez remarqué ? sur FB, sur les réseaux sociaux comme on dit à présent, sévit une sorte de pandémie préoccupante caractérisée (entre autre) par une inflation-restriction de vocabulaire, une véritable invasion de termes-butoirs surgis d'un chapeau, pêchés un peu partout, (et évidemment jamais explicités), dans des magasines, qui les ont eux mêmes pêchés dans d'autres etc etc.... et à l'origine on trouve parfois la psy, mais totalement dévoyée jusqu'au ridicule...  Car il arrive que ces formules vides, ces termes qu'on voit s'étaler partout, qu'on nous inflige sans relâche ! soient les moins heureux, les plus contestés et critiquables de celle-ci... Le plus cruel est que ceux-ci sont souvent employés par des gens tout à fait ignorants des règles (si l'on peut dire) du logos, de la recherche philosophique même élémentaire, voire seulement des règles de l'écriture, (en fait, c'est leur maladresse qui le fait pointer car cela vaut pour presque tous ceux qui les emploient, j'ai dit PRESQUE)... Et là, vive le copié collé, du moins pour des ''pros'' du truc autoproclamés... Car cet engouement soudain fait recette et certains, en manque de reconnaissance, s'engouffrent dans le créneau, créent des groupes, s'inventent des compétences et parfois font plus de mal que de bien, du reste ça peut aussi être leur but, outre le profit -inconstant-)... Quant à la majorité, la piétaille, elle se contente souvent d'anecdotes pénibles à lire, au raz du sol ou au dessous, heureusement assez brèves mais qui jouent à contr'emploi, les discréditent, même si elle ont réellement eu affaire à de vrais pervers (encore faut-il définir le pervers... quelqu'un qui tourne à l'envers ? Mais quel est le bon sens ? la société, et certains parents*, ne nous enseignent-il pas justement la manipulation machiavélique.. ET, en totale contradiction, la morale ?) .. C'est ainsi que l'on peut lire : ''mon PN à dit que.... '' Un humour involontaire et douteux, en tout cas exaspérant et qui surtout joue à contr'emploi.

Ainsi est-il du terme "pervers narcissique''. Racamier, lorsqu'il l'a, étourdiment je suppose, créé, était loin d'imaginer qu'il tenait un blockbooster qui 50 ans plus tard allait briller au firmament des outils de parades de tout pseudo (pseudo psy, pseudo féministes, pseudo intello etc...) qui se respecte (ou de tout escroc lucide qui a vu le gain à venir) suivis par des cohortes de victimes scandant en choeur "non aux PN" voire pire "Non à MON PN" voire pire encore "le monde il est méchant moi pas".

Car sur FB on ne voit que les bons, les ''nous'', souvent sans la moindre analyse. Pas lézotres ! Maisouilsont lézotres ? Y aurait-il un filtre d'accès à ce réseau qui éliminerait d'emblée tous les ''méchants'' ? FB fonctionne ainsi comme une vitrine bluette, modifiant la réalité en rose/noir.

Ainsi y voit-on des gens qui dans leur vie n'ont jamais manifesté de réelle solidarité envers des victimes (sans pour autant les attaquer, on ne sait jamais, le vent peut tourner) se fendre d'articles utinam** dénonçant l'indifférence de tous (sous entendu sauf eux) alors que si tousétaientuniégénéreux (sous entendu comme eux) les problèmes seraient résolus.

Il est aussi à noter que, a contrario, ceux qui justement ont manifesté dans leur vie un engagement réel envers des victimes n'en font presque jamais état (en tant que tel) ni ne glosent à l'infini sur la nécessité morale de tels actes, qui en fait, vont en effet DE SOI. De fait, insister trop lourdement sur ce point est suspect, comme l'est le gus qui m'invite dans un restaurant chic et devant mes réticences précise savoureusement ''sans aucune obligation de votre part, c'est entendu''. J'ai refusé évidemment.

Mais après tout, si certains se plaisent à envoyer de ça de là quelques faux self d'eux, quelle importance ? Quelle importance même de préconiser littérairement à d'autres ce que l'on s'est bien gardé de faire, soi ? Si, c'est important car gênant et surtout contre productif, discréditant même. Car des gens aux prises à des pervers, ou plutôt à des comportements pervers de leur entourage, issus d'un ou de plus, il y en a VRAIMENT! (voir suite au message précédent.)



* Dans certains milieux, le machiavélisme et l'indifférence sont enseignés (et ACTÉS) sans la moindre vergogne, aux enfants, très jeunes tandis que paradoxalement ils et surtout ELLES sont abreuvés jusqu'à plus soif d'une morale à la Margot type Harlequin. Ainsi la mère qui pleure et fait pleurer ses enfants devant le passage où Fantine se voit contrainte d'abandonner Cosette ("Les misérables") imposera-t-elle sans états d'âme à sa bonne d'en faire autant afin d'être disponible 24 heures sur 24... pour les siens. Une bonne mère.

** Ainsi commençaient les discours politiques démagogiques : ''utinam'' (plût aux Dieux que) suivi d'une litanie incontestable de bienfaits souhaitables implorés  en choeur, dont le but était de se mettre en scène paré d'une bonté d'intention qui ne coûtait rien, de fatiguer la bête surtout afin que l'important et/ou le douloureux ensuite glisse, flou, le public ayant épuisé ses réserves d'attention et d'empathie.

Deviens ce que tu veux etre


Les femmes et la médecine, extraits

http://chantsphilo.blogspot.fr/2017/02/maux-de-dos.html

Les douleurs de la sciatique en phase d'expression haute sont telles qu'elles m'ont évoquées celle de l'accouchement, lorsque le bébé descend dans le bassin, vers la fin. Hasard ? Non, il comprime inéluctablement le sciatique, qui du reste est de toutes manières écrasé à chaque contraction.
 En crise, les massages ne donnent pas grand chose, et de toutes façons, ....  comment ''attraper'' un nerf si profond ? Le débloquer ?
C'est justement ce qui va terminer cet article sur une note comique ! Voici. Un site sérieux de médecins, très sympa, sur un forum, exposait gravement que la seule solution pour dégager le sciatique (souvent coincé en plus dans un autre muscle profond -le piriforme-) était de passer par voie .... rectale, ce qui évidemment ne tentait personne, même au plus fort de la douleur. Soit. Dommage me disais-je... c'est ben con...

Lorsque soudain j'eus L'IDÉE, bon sang mais c'est bien sûr. Pour nous les femmes n'y avait il pas un autre accès, infiniment moins traumatisant que de se faire enfumer, euh, enculer, fût ce médicalement ou sur prescription ? ILS N'Y AVAIENT PAS PENSÉ ! POUR LA MÉDECINE, LES FEMMES, C'EST JUSTE DES HOMMES SANS LES ATTRIBUTS NÉCESSAIRES AU NOBLE QUALIFICATIF... MAIS BON, ON LAISSE PASSER EN GENTLEMAN CE DÉFAUT SOUVENT MAIS PAS TOUJOURS IL FAUT L'AVOUER, TRÈS ENNUYEUX  !...  OU SI ON OBSERVE ATTENTIVEMENT, UN HOMME MAIS AVEC UN TRUC PAS TOUT À FAIT CONFORME EN BAS, ON L'APPELLE LE VAGIN, C'EST DIRE (FOURREAU).

En vrac... Maux de dos, Pro metteurs les grands et les petits


http://chantsphilo.blogspot.fr/2017/02/chronique-de-la-fin-de-lete.html

Contexte. Une maison et un jardin dans la petite banlieue parisienne... en mauvais état en raison d'un incendie. Régis à qui le lieu appartient mais qui n'y vit pas depuis des années (indivis avec sa femme Léna). il veut en faire un immeuble de rapport ou le vendre à un promoteur qui fera de même, le PLU ayant changé en raison de l'extension du métro qui va passer tout à coté. Léna revenue après une longue absence s'accommode de conditions de vie difficiles que Régis ne cherche guère à améliorer. En lieu et place de travaux pour lesquels il a cependant été indemnisé par l'assurance, il lui propose de vendre. Elle refuse. (Où irait-elle ?) Ces échanges montrent de manière assez synthétique comment la planète, la nature, les arbres et finalement les animaux et les humains sont détruits par des gens inattendus (et au fond d'une affligeante banalité) facilement manoeuvrables par un système avec le hochet de la ''réussite'', l'argent, l'habileté au profit (ici un ex gauchiste écolo.) Non, ce n'est pas ''main basse sur la ville''...  Mais ça y ressemble tout de même, avec quelques variations.

Maux de dos, astuces http://chantsphilo.blogspot.fr/2017/02/maux-de-dos.html