Suite de l'article plus ancien (lire d'abord)
http://chantsphilo.blogspot.fr/2017/07/obscenite-dimages-mcron-trump-les-dames.html
Merci infiniment mes amies, Catherine Genot, Liliane Lafond, Doudou Colette Staiano, Marie Christine Girin... mais je m'explique : en fait c'est bizarre, hier, étais-je en moindre résistance ? Pas fatiguée pourtant, plus d'aphtes, scoliose redressée (ms il faut s'y mettre ts les jours, étirements), la sciatique est un souvenir, voir blog dossier mal de dos, coup du lapin fini, (ça je ne sais pas pourquoi) juste un coude un peu douloureux ms ça, ça vient de la tablette aussi, j'écris dans une position particulière et svt d'une seule main, en permanence soulevée, il faut que je change... et bras nus au bois avant hier humide, j'ai pris un courant d'air, bref tout va bien... (si ce n'est cette lettre au proc qui me répugne tant et que je n'ai pas encore envoyée, je m'en veux,.. toujours ce sentiment de culpabilité zut zut... dur d'accuser quelqu'un avec qui on a vécu et père de vos enfants -et de les perdre par la même occasion- ... ms je ne peux tt de m pas prendre maison sur la tronche... ma vie vaut cette humiliation?- mmmm?)
Et je me suis laissée glisser ! plus d'énergie soudain, plus la force de ranger ce cagibi pour m'y replier en cas d'urgence, moralement car physiquement ça peut le faire... et, ce fut l'erreur, j'ai regardé les actus ou ce qu'on ose appeler actu... l'histoire racontée aux idiots par un fou d'un monde plein de bruit et de fureur ? Même pas, la version praline, c'est à dire ''bmc'' comme disait élégamment je ne sais plus quel chef d'état, Chirac je crois ('bordel militaire de campagne') ni plus ni moins, je la reprends avec les guillemets d'usage et des pinettes... ô c'est trop beau, pincettes ! intentionnellement, c'est à dire, la version piple de ce qu'on ose appeler politique et qui de plus en plus n'est que ''ça'', la 'tique' non, molitique, non, politique version Gala, Vois tu, Vois t'y etc. .. et c'est à demi volontairement que je me suis laissée couler .... pour voir l'effet de ces images et encarts (plus ou moins publicitaires accolés aux images) on ne peut appeler ça articles.... sur un cerveau pour une fois passif, fatigué, triste, solitaire, se sentant, certes à tort, exclu.
Et j'ai glissé... en réalité je sais, confusément que je, que NOUS valons* mieux, infiniment, que ces images*, et sans forcer ! mieux que ces plaisirs obscènes infligés à qui peut-être a faim (ce n'est pas mon cas mais celui d'amies qui me valent bien et bien mieux -une en particulier qui se reconnaîtra ici- donc qui valent mieux que ces images) oui, mais c'est étrange, tout en le sachant petit à petit, j'ai fini par me dédoubler, une part en moi était... moi qui écris, peint et parfois sculpte, qui mange des herbes et vegan -et emmerde tout le monde avec ça- et ma foi en vit à peu près, qui jardine bizarre etc etc .... mais une autre part de 'moi', corrodée, lassivisée... non, passivisée béait devant ces images, ombres de la caverne, ok Platon, et de surcroît ombres de statues, oui je sais*... insidieusement je sentais mes jambes, mon corps.. trop ... ou pas assez... ou trop pas assez... pas conforme en tout cas... ou pas tout à fait... mes livres et articles n'avaient plus l'importance que parfois je me permets de leur accorder (pour les animaux essentiellement) je n'étais plus, TOUT EN SACHANT QUE CE N'ÉTAIT PAS VRAI, qu'une vioque de 69 ans certes encore au point -relativement - mais réfugiée dans une maison qui craque et fuit avec son poilu heureusement (qui 'garde' sec de toute lettre recommandée intempestive) ... En fait, j'étais devenue... ce que sans doute sont ou CROIENT être les gensses qui lisent ces torches cul tout le temps PARCE QU'ILS LE LEUR INCULQUENT : un anti modèle : ni jeune, ni chic, ni conso, ni ni ni .... tout en sachant qd m (par la culture, la philosophie, par vous mes ami/es) que ce n'était pas vrai (et qu'un seul de mes articles ou livres valait peut être toute la vie intellectuelle bout à bout de certains.)
J'étais un mixte de désespoir, de constat, (car ces torches culs improprement nommés représentent fidèlement l'image que la société a et suscite des gens et de leur 'valeur' relative mesurée -pour simplifier- par l'argent consommé, gaspillé, saccagé qui leur est concédé et ils sont des indicateurs précieux), d'écrasement et de mégalomanie un zeste... la conscience floue et de plus en plus floutée de ma 'valeur', légitime ou non, ne faisant qu'accentuer mon désespoir, cad mon pessimisme vis à vis de l'évolution de la sté pour les générations qui vont suivre.
* C'est cette notion de VALEUR des gens et stt des gensses vers laquelle j'ai glissé, (et vous avec moi, par ma faute, pour me 'remonter') qui est impropre, obscène, biaisée, infligée par ces torches cul ds un se sont ou un autre : illégitime et in mesurable et s'y référer est déjà se soumettre à cet étalonnage humiliant. Ici le gaspillage, la richesse actée... donc la pollution et la non valeur. En fait la valeur ce sont les orties.
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