... C'est hier que pour la PREMIÈRE fois, un policier, merci, me l'a signalé.
Dormi (de ? 9 heures AM à 13) comme une bûche, non, je dirais plutôt comme un G3 en cours de philo... et réveil en sursaut, rêve fini ! meeerdeee... non ça va, c'est à 2 h, ouf... et me voilà en route (1 km à peine) vite vite (je ne suis pas en retard mais qd m surexcitée) ...
Et, vous allez rire, je manque de me faire crocher au milieu de la place M. par des bagnoles, enfin par une au moins, arrivant à gauche, c'est traître, on croit le feu rouge ms niet, la flèche s'éclaire et ça démarre sur vous à mi distance... Le gus doit freiner (en ppe ils ont horreur de ça) .... je le regarde et me fends d'une passe de matador, une vocation rentrée, je tiens à la main mon écharpe vaguement rouge, ici on n'est jamais sûr du temps, c'est toujours parapluie ou kway en boule ds le sac à dos ET éventail, zutant... d'ailleurs ça me rappelle que cette nuit, enfin nuit, c'est une façon de dire ... j'ai rêvé de Manolete (suite à l'article que j'ai fait après la mort de Fandido ss dte) j'étais Lupe Sino .. ET Lydie à la fois, dans les rêves on peut tout être... et.. mais ouiiiii, Gustau (Gustave Nouvel) aussi, merde alors, c'est vrai qu'en y réfléchissant, il a quelque chose dans le regard, la paupière espagnole on dit, du maestro .. ça doit vouloir dire quelque chose... Une pique contre Mamita, le rappel de la belle mère odieuse de Lupe, (la mère de Manolete, fasciste, intégriste catho, s'opposant jusqu'a la mort au mariage de son fils chéri -l'unique mâle d'une riche portée- son fils chéri donc, avec une républicaine divorcée, joyeuse luronne ? mais enfin, même s'il y a des points communs, entre Manolete et Nathan, tout de même, il y a des lunettes et un canard... passons, l'idée me fait sourire d'imaginer Nathan qui, lorsqu'il veut planter un clou, se le met ds la main ... (Nathan et sa table magique) ... dans une arène face à un 'Miura' en colère cape en main... Le gus en bagnole -qui est ici dans le mauvais rôle du toro- a le bon goût de sourire de mon impertinente Véronique et d'esquisser la salute chapeau bas, ollé... un du Midi ss dte, je risquais le lynchage ici... Bref je fonce, temps idéal un peu voilé sans plus, frais, lumineux quand même....'' (il est 6 heures qd j'écris. )
Il paraît que ça va saucer je file, suite tt à l'h ms pas de suspense, ça va aller !
Reprise. J'arrive donc au Commissariat, on m'ouvre, et on me laisse entrer presque comme ça. Cela dépend, je l'observerai ensuite, de la personne qui ouvre, tout simplement, ainsi verrais je une jeune flic pourtant gentille faire attendre dehors une antillaise certes immense mais avec deux enfants et un autre laisser entrer, au moins ds le hall, pour questionner, très rapidement, un jeune arabe. Les ordres doivent être souples. Je n'attends guère, arrive une toute jeune femme, petite, frêle et on monte. C'est la juriste.
Suite ds 5 mn...
Reprise. Ça va aller relativement vite. Elle admet (comme chose naturelle) qu'il est PRATIQUEMENT IMPOSSIBLE DE PORTER PLAINTE DANS MON CAS OU DANS DES CAS IDENTIQUES, VOIRE PIRES ! ET M'INDIQUE LA SEULE SOLUTION : ÉCRIRE DIRECTEMENT AU (OU PLUTÔT À LA) PROC. ELLE DILIGENTERA ENSUITE UN COMMISSARIAT AFIN QU'ILS ENQUÊTENT. C'EST TOUT. JE LUI DEMANDE COMMENT SE FAIT-IL QUE LA LOI SOIT DONC VIOLÉE TOUT LE TEMPS AU SUS ET AU VU DE TOUS (OU PRESQUE PUISQUE L'AVOCATE VISIBLEMENT IGNORAIT QUE LE CAS ÉTAIT GÉNÉRAL !) ÉTRANGE... JE CROIS QUE MALGRÉ TOUT JE NE VAIS PAS LA GARDER.
Tout ça me conforte ds ma thèse précédente, tout est fait pour que ceux qui en ont trouvé le problème, us besoin n'aient pas accès à la justice. Un eugénisme ? un pauv ris me. Raison de plus pour se battre.
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