lundi 24 juillet 2017

La France la pire d'Europe question droits ou plutôt non droit des femmes

Un texte excellent et inquiétant repris par moi (indiqué ndlr) de Tadam Yen (merci ) via Eva Liouba (merci ! )

Note liminaire : contrairement aux idées reçues, le masculinisme n'a rien avoir avec une injustice que vivrait les hommes français dans le divorce, il vient des USA, surgi contre des féministes particulièrement combattives.

La majorité des divorces sont sans conflits de garde. (Ndlr, stt qd il y a plus de 3 enfants ! En bas âge ! Là, les pères ne les disputent pas à la mère. Ça viendra après, qd ils seront adultes!)

Dans 80% des cas, les 2 parents décident la résidence chez la mère, afin de maintenir l'enfant dans les modalités de garde d'avant la séparation. (Ndlr, si on met ces chiffres en regard de ceux d'une autre étude qui dit que ds la plupart des cas, c'est l'homme qui garde le domicile conjugal, cela signifie que ds la majorité des cas, femme ET enfants st contraints de déménager. Pas top, surtout si s'y ajoute comme c'est le cas GÉNÉRAL une baisse de niveau de vie, le pavillon devient HLM, la maison avec piscine, appartement... et le chien... passons.)

La majorité des hommes privilégient (donc?) respect et bien-être de l'enfant à leur besoin de possessivité - un enfant n'est pas un gâteau-. (Ndlr, ne pas disputer à la mère la garde de l'enfant - le singulier est intentionnel- ne signifie pas qu'ils privilégient son bien être ms peut être tout simplement le leur, le fait que cette garde soit rarement revendiquée lorsqu'il requiert le plus de soins, mais ensuite de plus en plus au fur et à mesure qu'il grandit, -jusqu'à des quasi 'rapts' à l'âge adulte*- tendrait à le montrer.)

RESTENT 20% des cas : 10% où l'un des parents ne se présente pas (en général le père), la garde est donc confiée au parent qui la demande (en général la mère). (Ndrl, intéressant mais il faudrait des chiffres et élargir, cela corrobore le point précédent.)

Restent donc encore 10% "en conflit de garde" ... dans ces cas, les seuls où la justice doit trancher, VIOLENCE, VIOL, INCESTE SONT DÉNONCÉS À PRÈS DE 88% .. ET les PÈRES VIOLENTS OBTIENNENT SATISFACTION DE LEUR DEMANDE À PRÈS DE 82 ou 83%.
(Ndlr, cela tendrait à signifier qu'il est DANGEREUX pour une femme de se plaindre, de dénoncer son co parent car ainsi elle obère dramatiquement ses chaYnces d'obtenir la garde de l'enfant... Ou que celles-ci tendraient massivement à inventer des actes de maltraitance en cas de 'ballottage défavorable' de la part du père, (celui-ci, mieux armé financièrement, les ayant mises à mal judiciairement) pour emporter le pot. Apparemment C'EST CETTE DEUXIÈME HYPOTHÈSE SEULE QUI A ÉTÉ RETENUE MAGISTRALEMENT ! LE PPE ÉTANT : LES FEMMES ÇA MENT TOUJOURS -mais il manque les chiffres sur la tranche 12% où il n'y a pas dénonciation-.)

Donc voici le bilan international pour la France, impressionnant :
la justice est  discriminatoire envers les femmes et les enfants, privilégiant "les droits de cuissage et tout droit du chef de famille" ainsi que le rapporteur de l'ONU le Dr Juan Miguel Petit le notifie dans son rapport en 2003. Quand la violence, l'inceste sont dénoncés, la Justice remet l'enfant à l'auteur des violences et sanctionne la mère. Quand il y a violence conjugale, la Justice ne fait rien pour protéger l'enfant et la mère, au contraire elle les soumet au bourreau.

Les effets sont : suicide d'enfant -- raison pour laquelle les USA après une étude ont arrêté de donner la garde aux pères violents -- ; meurtre d'enfant ; meurtre de femme... raison pour laquelle l'Angleterre arrête aussi.

EN France, ce que révèlent encore les études est que dans 60% des meurtres de femmes (feminincide) l'homme était dejà reconnu violent et dans 40% des cas, cela s'est produit pendant le droit de visite ou d'hébergement.

-- Avant la Loi coparentalité 2002, (précision à établir sur cette loi, ndlr) une étude (idem, ndlr) a été réalisée sur 10 ans. Résultats :
1 femme est tuée tous les 5 jours soient 73 femmes/an et 8 à 10 enfants.
-- Post Loi coparentalité (demande masculiniste) la 1ère étude arrive en 2004 :
122 femmes tuées par an et 35 enfants. (Victimes collatérales : près de 80, auteur qui se suicide : près de 70... )...
(Ndlr, soient, depuis la 'Loi', 49 femmes et 25 enfants de plus sont tués par leur co parent ou père, donc on a 75 victimes en plus. -Je ne tiens pas compte des collatérales car le chiffre n'est pas établi pour la première période-. Question : à ces chiffres s'ajoute-t-il (?) les 2,4 femmes/semaines tuées par leur compagnon sans qu'il soit explicitement question de conflit de garde d'enfant -à déterminer-? )

* Un enfant adulte et/ou apparié à ce moment-là peut représenter un atout (contre l'autre parent ou en général, pour un parent vieillissant, souvent le père, statistiquement plus âgé de 3 ans que son ex femme) et non plus, ou PAS SEULEMENT une charge, ndlr.

Par et à partir de Tadam Yen, que je remercie ici
 

1 commentaire:

  1. je me permet de répondre a tes quelques interrogations. Toujours à la lecture de constat fait par les divers organismes :
    donc 1 nbred enfant et co parentalité, tel que le révèle insee en 30ans les H ont augmenté leur soutien parenatle de 7min soit toujours 3 fois moins que la mère par jrs. Ce qui est vraiment intéressant est que si le nombre d enfant augmente et donc le temps mère/enfant augmente celui père/enfant non, qu il y en est 1 ou 3 l'H fr n augmente pas sa participation.


    les femmes sont paupérisées à la mise en place du couple et encore post séparation. De mémoire leur niveau baisse post séparation de près de 20% quand celui des hommes augmentent de 35%. les p.a majoritairement non payés, passé de 43% à 60% en 2015, le nombre de m² baisse donc ce que l 'étude collectif onze démontre.
    concernant les chiffres 80/10/10 ce sont les chiffres justice 2013 pas d'étude plus complète depuis juste que officiellement c 'est 80% SANS conflit : 71% mère 12%GA et reste chez père et 20% conflictuel divisé nbre de parents absent procédure c est pas 10% c est 9% pour etre exact.
    les 12% ou il n y a pas de dénonciation est lié à l age des enfants. Les mères refusent (légitimant la ga des enfants en bas age et nourrisson, parfois allaitant)
    concernant les victimes collatérales voir les chiffres sont dispo facilement. chiffre donné de mémoire et par an année 2013 ou 2014 je crois nous étions à 172 femininicide 35 enfants 70suicidé 30 parents, beaux parents, patrons,ou nouveau petit ami et depuis 1989 25 H tuée par femme dans 40% à 60% selon l année et enquête victime de longue date de violence exemple affaire sauvage et lange.

    mais le plus simple aurait été que tu me pose la question avant ton poste.

    cordialement

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