samedi 21 janvier 2017

Journal d'une survivante ad delphinum



 Le fil de discussion. Pour Francine, Pascale, Michele, et toutes les autres
http://chantsphilo.blogspot.fr/2017/01/epreuves-de-femmes-nietzscheen-contre.html
Et en musique ! Journal d'une survivante...

Mots sur maux et vice versa (reprise)

Un enfant...
Après, c'est plus pareil, tu comprends ?
Tu as été VOULUE.

UN TRAVAIL SÛR, il faut y penser. Même à 14 ans..
On ne sait jamais.
 Enfant gâtée, va ...

INSTITUTRICE, pour une fille, c'est bien.
Pour tes enfants.
Évidemment pour un garçon, ce serait différent...

C'EST POUR TOI QU'ON LE DIT. Pour toi !
Tu deviendrais malade.

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Non on ne se doutait pas. Jamais...
Elle était en train de s'habituer !
Un tel geste, juste le geste...
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Ici c'est chez moi, tu n'y as aucun droit
DÉGAGE!
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"Maintenant NOUS VOUS TOLÉRONS, Hélène!
Comment ça, VOUS PAS ?
Mais puisqu'on vous dit que c'est fini !

"Le problème, c'est ton orgueil.
Tu te surestimes beaucoup,
Tu te mets toujours en avant,
Regarde avec les miens!

Tu es folle, il faut te faire soigner,
Non ? Quand je dis que tu es parano!
Et tu refuses toute aide !
C'est le signe.

Tandis qu'avec Cathy tout est lisse
Jamais un mot plus haut
Le repos enfin.
(Ils sont morts ? En mauvais état ?
Évidemment ça va mieux, mais bon..)

Comme je languis !
Oui je viendrai. Demain
(S'iI y a des réductions au TGV,
Sinon après...
Depuis trois ans,
On n'est plus à six jours près,
Non ?)
Ça fait quand même 20 Euros.
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"Tu as mis de coté ta carrière pour moi ?
Tu te moques ! quelle carrière ?
Ma pauvre maman !"

"La maison est inhabitable,
Comment peux-tu ? Immonde!
Ça pue le chien !"
"Elle est habitable parce que tu l'habites?
Toujours tes sophismes à la noix!"
"Une bête n'y vivrait pas.
Toi si ? Ça te regarde évidemment,
Si ça te plaît. Ma pauvre maman"..
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ÉPILOGUE, dialogue avec moi-même ..

Hélène 19 /1/2017 (à 8 heures du matin) versus Hélène 19/1/2017 (à 9 heures 13 du matin). Dans la maison, l'eau a gelé dans un verre en plastique, sur la table, une pellicule titinabulant assez jolie, je n'y voyais rien, j'ai cru avoir laissé une cuillère dedans ... Mais il y a 5 degrés derrière les cartons entassés au fond dqe la pièce à coté de Charlie... qui chauffe son coin ! Ça change tout. Et le super duvet.
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A Hélène par Hélène

"Tu as cherché (?) à être faible (?)
Pour qu'il t'aime ? T'APPRÉCIE ?
Ne pas lui faire d'ombre, les écraser
Ou parce que faible, tu l'étais ? ..
... Tu l'étais DEVENUE ? => ? Qui sait ?

Il fallait être forte mais la jouer "Nora"...
Sinon ça l'humiliait.
(Maison de poupée...)
Mais jouer, c'est CONSENTIR
JOUER, C'EST DEVENIR...

ET C'EST EUX QUI T'ONT ÉCRASÉE
Au compresseur..
Les faibles n'aiment pas les faibles..

Comme de rage on rosse une bête
Qui ne peut plus tracter ni avancer :
Les faibles n'aiment pas les faibles,
Ni les pauvres, les pauvres..
(Les forts non plus, mais ils font comme si..
J'ai résisté jusqu'à zéro degrés
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Et soudain la lumière s'est levée
Qui hurle en moi à en blêmir :
Laisse tomber quoiqu'il t'en coûte
Sois toi. Forte.
Dure, il le faut ou tu vas périr.

Joyeuse. Peint. Comme AVANT ..
Il y a si longtemps !
Galerie. Chante. Vend.
Gagne.
Ils lâcheront,
Ce sont les esclaves qui font les tyrans, non ?

Et tu revivras.
... Au moment même où décillée,
Tu n'auras cure
Du bruit et de la fureur,
Du vacarme autour de toi
IL CESSERA !

Une illusion ! Il faut qu'on m'aime
(Ou qu'on accepte mon amour)
Ou je ne suis rien..

Et on tolère.. puis s'offre aux coups
Réels ou virtuels.

Lui virevoltera/ront.. petit patapon?
(Finalement elle vaut le coup !)
Refuse ! Refuse ! Tiens bon.

N'OUBLIE PAS (tu as risqué ta vie)
Leur indifférence absolue.
N'oublie pas les rires surtout
Lorsque tu pleurais derrière la porte,
Désespérée.
J'avais fini ma partition ?

Tu ne te dois qu'à toi. A ta robustesse (!)
Et c'est bien ainsi.
Vis pour toi. Vis. Vis !

Laisse braire,
Car sans l'amour, l'illusion inculquée
Aux femmes pour les traire,
Combien tout est simple, léger !
Juste soi.
Je m'aime !
Et ils ne me valent pas."
Hélène

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