Le fil de discussion.
http://chantsphilo.blogspot.fr/2017/01/epreuves-de-femmes-nietzscheen-contre.html
Mots sur maux et vice versa (reprise)
Un enfant...
Après, c'est plus pareil, tu comprends ?
Mais on t'a eue quand même.
Avant deux ans il le fallait. Pour la prime.
Tu as été VOULUE.
UN TRAVAIL SÛR, il faut y penser. Même à 14 ans..
On ne sait jamais. Démissionner de l'EN ?
Jamais. Tant voudraient ta place !
Tu n'as pas honte ? Enfant gâtée, va ...
INSTITUTRICE, pour une fille, c'est bien.
Pour tes enfants.
Évidemment pour un garçon, ce serait différent...
Et puis les études, tu n'y arriveras jamais..
Comme le piano.
Ce n'est même pas la peine de commencer !
C'EST POUR TOI QU'ON LE DIT. Pour toi !
Tu deviendrais malade.
Françoise ? Mais c'est des gens QUI ONT DE QUOI.
Allez, pas d'histoires, TROIS ANS C'EST VITE PASSÉ !
Et puis tu l'as voulu non?
Non on ne se doutait pas. Jamais...
Elle était en train de s'habituer !
Un tel geste, juste le geste... RIEN DE GRAVE,
MAIS ON NE L'AURAIT JAMAIS PENSÉ!
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Ici c'est chez moi, tu n'y as aucun droit
DÉGAGE!
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"Maintenant NOUS VOUS TOLÉRONS, Hélène, vraiment,
Comment ça, VOUS PAS ?
Mais puisqu'on vous dit que c'est fini !
Le passé, les histoires de religion.."
(Toujours à faire des histoires !)
"Le problème, c'est ton orgueil.
Tu te surestimes beaucoup,
Tu te mets toujours en avant,
Regarde avec ma famille !
Si ouverts pourtant, si aimables !
Tu les a rejetés net.
Mais non ! Ils n'avaient rien contre toi,
(Contre les goys ? non! Dieu leur pardonne ?)
Parano, va, arrête ton char..
Tu es folle, il faut te faire soigner!
Je m'en occupe, tu veux bien?
Non ? Quand je dis que tu es parano!
Et tu refuses toute aide !
Tandis qu'avec Cathy tout est lisse
Jamais un mot plus haut
Le repos enfin.
(Ils sont morts ? En mauvais état ?
Évidemment ça va mieux, mais bon..)
Mais tu es belle, mon grrand amour.
Tu l'es encore, si...
Et je m'emmerde tant sans toi.
Pourquoi es-tu partie ?
Jamais je ne t'aurais quittée, moi !
Comme je languis !
Oui je viendrai. Samedi. Demain
(S'iI y a des réductions au TGV,
Sinon après...
Depuis trois ans,
On n'est plus à six jours près,
Non ?)
Ça fait quand même 20 Euros.
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"Tu as mis de coté ta carrière pour moi ?
Tu te moques ! quelle carrière ?
Ma pauvre maman !"
"La maison est inhabitable,
Comment peux-tu ? Immonde!
Ça pue le chien !"
"Elle est habitable parce que tu l'habites?
Toujours tes sophismes à la noix!"
"Une bête n'y vivrait pas.
Toi si ? Ça te regarde évidemment,
Si ça te plaît. Ma pauvre maman"..
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ÉPILOGUE, dialogue avec moi-même ..
Hélène 19 /1/2017 (à 8 heures du matin) versus Hélène 19/1/2017 (à 9 heures 13 du matin). Dans la maison, l'eau a gelé dans un verre en plastique, sur la table, une pellicule titinabulant assez jolie, je n'y voyais rien, j'ai cru avoir laissé une cuillère dedans ... Mais il y a 5 degrés derrière les cartons entassés au fond dqe la pièce à coté de Charlie... qui chauffe son coin ! Ça change tout. Et le super duvet.
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A Hélène par Hélène
"Tu as cherché (?) à être faible (?)
Pour qu'il t'aime ? T'APPRÉCIE ?
Ne pas lui faire d'ombre, les écraser
Ou parce que faible, tu l'étais ? ..
... Tu l'étais DEVENUE ? => ? Qui sait ?
Il fallait être forte mais la jouer "Nora"...
Sinon ça l'humiliait.
(Maison de poupée...)
Mais à jouer, on se brise,
Car jouer, c'est CONSENTIR
JOUER, C'EST DEVENIR...
ET C'EST EUX QUI T'ONT ÉCRASÉE
Au compresseur..
Les faibles n'aiment pas les faibles..
[R. F. M. F. etc.. ("Chacun sa merde"...
"Ratée minable jalouse envieuse
Parasite" etc.. "Quelle carrière" ? etc.. )]
Comme de rage on rosse une bête
Qui ne peut plus tracter ni avancer :
Les faibles n'aiment pas les faibles,
Ni les pauvres, les pauvres..
(Les forts non plus, mais ils font comme si..
Nécessité. Nécessité!)
J'ai résisté jusqu'à zéro degrés
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Et soudain la lumière s'est levée
Qui hurle en moi à en blêmir :
Laisse tomber quoiqu'il t'en coûte
(Amour, Dicette.) Sois toi. Forte.
Dure, il le faut ou tu vas périr.
Joyeuse. Peint. En place ! Comme AVANT ..
Galerie. Chante. Vend.
Gagne.
Ils lâcheront,
Cesseront de te détruire,
Ce sont les esclaves qui font les tyrans, non ?
Et tu revivras, braouca coupés au raz.
... Au moment même où décillée,
Tu n'auras cure
Du bruit et de la fureur,
Du vacarme autour de toi
IL CESSERA !
Une illusion ! Il faut qu'on m'aime
(Ou qu'on accepte mon amour)
Ou je ne suis rien..
Et pour cela je dois tout faire..
Une illusion !
Et on tolère.. puis s'offre aux coups
Réels ou virtuels.
Lui virevoltera/ront.. petit patapon?
(Finalement elle vaut le coup !)
Refuse ! Refuse ! Tiens bon.
N'OUBLIE PAS (tu as risqué ta vie)
Leur indifférence absolue.
N'oublie pas les rires surtout
Lorsque tu pleurais derrière la porte,
Désespérée. (Ton fils, qui l'eût cru,
Avait changé de camp ?
J'avais fini ma partition ?)
Tu ne te dois qu'à toi. A ta robustesse (!)
Et c'est bien ainsi.
Vis pour toi. Vis. Vis !
Et laisse les se détruire, se vendre,
S'acheter, se flouer, s'hypocriser,
S'exploiter, se tuer, s'humilier,
Ramper, susciter, se manipuler...
(Intrigues de cour cruelles)...
S'étriper, fourbir...
Chercher un champion coûte que coûte,
Contre un autre, puis inverser
Quand l'un faillit ou a rempli son rôle..
Et n'a plus de jus à donner..
De trahison solidaires.
Et rire de plaisir de la peine infligée
A qui vous aime..
Et POUR CELA blessé !
Laisse braire,
Car sans l'amour, l'illusion inculquée
Aux femmes pour les traire,
Sans leur protection exigée,
(Mais en retour soi disant assurée,
Éternel fardeau corollaire,
Promesses-carottes vaines..
Mais fouet bien réel !)
Combien tout est simple, léger !
Juste soi.
Je m'aime
Et ils ne me valent pas."
Hélène
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