dimanche 15 janvier 2017

Un fil sur FB, sonate à Gérard et à Yves

Suite de ''les femmes d'homosexuels célèbres.'' Article plus ancien
http://chantsphilo.blogspot.fr/2017/01/femmes-dhomo.html
Je reçois une volée de bois vert lorsque je relie homosexualité refoulée et non actée et maltraitance féminine au sein du couple. C'était prévu..  j'ai pissé sur la nappe.

Hé ! C'est bien une omerta ici qui est violée, je vois ! celle pourtant déjà violée par Hite, Firestone etc.. qui pointe la forte prévalence de l'homosexualité, parfois version limite pédophile dite pédérastie pour faire chic (jeunes garçons,  Platon, Socrate etc..) chez les hommes. S'en suivent pour les soumis conformistes des unions de confort, dites imposées mais en fait svt acceptées voire demandées  (exemple de Loti qui réclamait qu'on lui trouve une femme riche, docile et plus petite que lui) une véritable haine cette fois des femmes,  je sais ce n'est pas chic ni correct ms là JE SAIS DE QUOI JE PARLE ! sous tendue par le dégoût et renforcée lorsqu'il s'agit de personnages publics par la peur d'être démasqués. Car redite, pour le sexe, entre désir et dégoût il n'y a pas de moyen terme. Sophie, qui de plus n'était pas belle, dégoûtait Léon d'où sa cruauté envers elle et l'exploitation sans pitié à laquelle il la voua. Oui, en partie, c'est tout le charme et la complexité de l'affaire, sur laquelle j'ai bcp écrit (j'avais l'idée de faire un livre à ce sujet) et que je connais bien, exemple :  le jour où Liova à affranchi ses serfs, elle écrit ds son journal ''Il ferait n'importe quoi pour se faire remarquer..'' oui c'est certes une bourgeoise mais qui avait su évoluer,  pour plaire a Liova, d'accord ... sa vie était faite de courses à la Cour pour faire lever certains interdits, de mondanités y afférentes, du travail de copiste qui lui prenait ses nuits, l''école où elle supervisait et enseignait (les manuels qu'elle fit sont encore en usage) à tous les gamins du village en plus des siens, les leçons de piano etc... et 13 ENFANTS TOUS VIVANTS cas rare. Elle est morte d'avoir pris froid en faisant ses vitres en plein hiver, un détail. A part ça je ne m'en serais pas fait une copine. As tu lu la sonate à Kreutzer ? C'est cuistre ms ss ça on ne peut pas la comprendre, et d'ailleurs justement après l'avoir lu et sachant que c'est elle ! qui a fait lever l'interdit du tzar, on la comprend encore moins ! Masochisme ?  ''Conne'' si tu veux dont l'erreur fut, fascinée par la noblesse (elle n'etait pas noble et devenir comtesse fut son beruf, tout un flan) et la célébrité... de tomber amoureuse de Léon et d'être éberluée de la réciprocité  (un gentleman à sa manière )..  et un type certes intéressant, un mystique, ecolo vegan avant l'h, s'imposant de se servir lui même, même devenu âgé etc... ("je ne considère pas comme humaniste un homme qui fait vider son pot de chambre par un autre") qui seulement n'était pas fait pour être père et encore moins mari... l'engrossa néanmoins 13 fois (elle ne fit rien contre, toujours ds l'idée que ça se devait, elle était comtesse après tout) puis la déshérita ainsi que ses enfants qd elle avait largement participé à son succès, dir com, scribe, comptable, correctrice, négociatrice et agent ..   de nos jours, Tolstoi serait condamné pour cela. Mais au fond seul l'amour l'intéressait et elle s'en plaint peu, la spoliation n'est qu'un symptômes de la haine que lui voua l'ami de Liova et enfin Liova lui même . (Et puis, comment faire tourner la véritable entreprise qu'était Yasnaia Poliana les invités arrivant n'importe quand lorsqu'on n'a pas assez ?) Même ses filles acceptèrent d'être déshéritées,  l'une d'elle dit l'avoir regretté longtemps après, un jour où on devait jouer une pièce à partir d'une oeuvre de son père, à Moscou, où elle se précipita avec sa soeur... et s'aperçut qu'elles n'avaient pas assez pour entrer!ii

Sur la sonate à Kreutzer (le roman).
Ça ne t'a pas choqué ce gus qui accable sa femme de grossesses pour qu'elle ne s'en aille pas ? Pour l'abîmer ? la démolir, et qui se plaint de son échec ("elle est indéformable et increvable" de mémoire !) et la tue par jalousie du prof de piano plus jeune et plus beau que lui, à la fin ? Moi aussi j'étais jeune et ça m'avait horrifiée. .. stt qd j'ai su que ça devait être plus ou moins autobiographique, que le brave tzar avait interdit le livre... et que c'était Sophie qui avait emporté l'autorisation grâce à ses amitiés douteuses à la Cour.  Liova, lui, restait loin et pur, c'est elle qui allait au charbon ! Grrr masochisme ?  idiote ?

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