mardi 11 avril 2017


Extrait de l'article. Agnès Marin,  chronique d'une mort annoncée.

 ''Un collège-lycée privé avec internat dont, si j'ai bien lu, les frais de scolarité s'élèvent par année (en internat ou seulement pour l'internat?) à 10 600 € plus les 500 d'inscription et autant de scolarité pour ceux qui ne sont pas du "plateau vivarais", à quoi s'ajoute le coût des gardes spéciales pour les vacances non comprises, ça doit tourner autour de 3000 €/mois ou davantage...'' (Note,  ces chiffres datent de 6 ans, il faut les indexer.)
http://fabricationmaladiepsy.blogspot.fr/2011/11/la-mort-dagnes-dans-un-lycee-college.html

 https://m.youtube.com/watch?feature=share&v=9oXxWBcj4hg

 Une invraisemblable série de dysfonctionnements ou comment avec les coupes de budget notamment dans l'EN, mais aussi la justice, la police... ça peut se retrouver à l'identique ou pire. Ou comment un jeune de 17 ans, déjà sous contrôle judiciaire (en liberté conditionnelle ! pour un viol avec préméditation, -et probablement préméditation de meurtre- c'est un miracle si la jeune fille s'en est sortie-)  a été admis dans un établissement chic et choc à prix prohibitif (lien plus haut) avec internat mixte.. sans la moindre surveillance... hallucinant !  C'est véritablement la chronique d'une mort annoncée. Notons que la mère de sa première victime avait signalé  (et au fond c'était une évidence) qu'il allait recommencer et que cette fois il irait jusqu'au bout c'est à dire tuerait, mais quel poids avaient ces propos pourtant de pure logique contre des zommes et en plus des zomespépsy ! Et c'est exactement ce qui est arrivé. Notons que parmi tous les responsables, l'EN qui à mon sens arrive juste en seconde position après la Justice (et la psy mais indirectement) s'en est super bien tirée !  Comment des établissements, certes privés et en partie hors contrat, mais cela ne change rien, peuvent- ils, au mépris de toute obligation légale, ainsi échapper à tout contrôle de la part des instances éducatives qui en ont le devoir ? Apparemment dans cet établissement débordant, je devrais dire suintant ! d'humanisme visqueux, hypocrite, en totale contradiction avec ses pratiques réelles, (le directeur par exemple, droit dans ses bottes, qui ment lorsqu'on lui demande s'il était au courant du passé -très récent- du futur assassin- et qu'au cours du procès il faudra malmener -sic !- pour qu'il finisse par avouer enfin que.. oui, il avait eu vent d'une .. agression sexuelle, jouant sur les mots de manière honteuse... et se défaussant sur la justice, laquelle se défausse sur la psy) aucun inspecteur, aucune inspection pourtant prompts parfois à être diligentés en banlieue parisienne dans des bahuts sans internat ! et pour rien ! n'a jamais mis les pieds ; sans doute est-ce relié à l'idée sous jacente que, lorsqu'on peut raquer 2000 € (ou plus) mensuellement pour la scolarité de son gamin, (difficile ou pas) on n'a pas à être contrôlé, ni la boîte qui les requiert ni les parents qui signent les chèques, tout ce monde étant sis dans une caste forcément à l'abri de toute suspicion ?

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