10 % de mortes ! |
CE QUE DISENT LES MOTS ET CE QUI EN SUINTE.
LES GOÛTÉS, LES GOÛTEURS, ET LES DÉGOÛTÉS !
{Notez le 'encore' du gus surmené kenpeplu de toutes ces nanas hystériques qui l'innondent de ces trucs idiots ; le 'qui se croit', la pauvre idiote ! Elle ne sait pas, non, elle se croit féministe. Mais lui, le mec, il SAIT et va lui apprendre ce kesé ou plutôt cékecépas le féminisme ! Ah mais! c'est qu'il a des idées en plus ! Des magazines de cul, ça c'en est une qu'elle est bonne ! Chacun ses goûts. Yenakémelechocolat d'autres le café au lait enfin voilà ! Argument imparable qui réduit femmes et bardaches, les goûtés au rang de matériel de consommation... par les con sommateurs goûteurs. JO- LI !}
HL : Mmmm tu me fais saliver avec tes descriptions d'hommes ! Merci. Mais oui les mecs sont responsables par le mépris qu'ils nous vouent (tous ou presque, quelque part coincé entre deux neurones prêt à bondir dès kondépasselébornes) et l'exigence à nous infligée d'être top ou juste conforme à cekondoit. Et en effet ça varie. Quitte à en mourir. Les manequins anorexiques sont plus 'vendeuses' que les autres, c'est un signe, les publicitaires ne raquent jamais pour rien, [il est vrai qu'ils surfent sur une vague déjà socialement très haute etet prégnante (le mépris du corps des femmes qu'on modèle selon fantasmes.. qu'ils suscitent peut-être après, c'est intriqué, mais ça ne change rien).] J'ai été anorexique, pas gravement, à 16 ans, ma fille aussi, très gravement.
Bébert : Tiens, tu entres dans la catégorie des préjugés idiots. Confondre mode et hommes ! Ils ne connaissent même pas les deux derniers tons (thons?) à la mode. En amour leur avis est donné par leur bite, pas par les magazines qu'ils ne lisent pas.
CE QUE DISENT LES MOTS ET CE QUI EN SUINTE
{Notez le ' préjugé idiot ', on a donc ici deux fois le terme idiot appliqué à deux femmes (et leurszamies) sur 11 lignes. 5 lettres/700, ce qui est énorme, presque 1%! DONC SUR CENT LETTRES, UNE EST UNE FLÈCHE EMPOISONNÉE ENVOYÉE AUX FEMMES OU À UNE OU DEUX ET 'LEURSZAMIES' ! Et notons aussi le jeu de mots extrêmement péjorant sur le terme thon, désignant une femme laide, grosse, qui ressemble à un thon sur la planche à équarir... Et voilà ! on y est Mimile ! ce sont ces types de propos qui confortent ou génèrent l'anorexie par la honte qu'ils nous infligent de nous mêmes dans notre corporéité ! }
HL : Leur 'bite' comme tu dis est reliée à ces magazines ''qu'ils ne lisent pas'', ça s'appelle l'imprégnation, l'umwelt, ou la culture, l'idéologie, enfin bref, tout ce qui en ce moment exsude de tes propos inappropriés, condescendants jusqu'à l'arrogance, absolument insupportables que tu ne tiendrais probablement pas devant un homme ou pas aussi sexuellement virulents.
PM : Les mecs sont responsables par le mépris qu'ils nous vouent (tous ou presque (...)" Euuuh.... ça ressemble pas un peu à :" les femmes c'est toutes des salopes ou presque" comme phrase..
H : Tu l'as bien compris tout de même, c'est relié au ton, aux termes déplacés voire insultants de la note base que je résumerais ainsi quant à sa substance : les femmes, pour avoir l'heur de mériter la bienveillance conditionnée du gus, (qui ici se positionne en tant qu'homme, donc généralisant, un 'concept') doivent impérativement.... 'ne pas être idiotes'... 'savoir ce que c'est le féminisme bien pensé'... (!) .. 'ne pas tout confondre'... 'ne pas mettre tous les mecs dans le même sac'... (!)... 'ne pas être des thons'... etc.
La réponse logique du berger à la bergère, et même le constat est : 'les mecs nous vouent un mépris inaliénable tout en se positionnant, je simplifie, de gôôôche, féministes... (Que sera-ce alors les autres ?) et reprocher ensuite ... la réaction qu'on a (intentionnellement?) suscitée participe d'une démarche perverse.
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